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DISCUSSION

Attention : Votre entree ne sera postee qu'a la prochaine mise a jour.


23/12/02

Bonjour,
Je suis un étudiant berbere en France, mon nom est
IRIZI beaucoup de gens de mon village ( anti-Atlas au
sud) prétendent que notre origine est juif,
j'aimerais savoir s'il y des familles juives portant ce
nom.
merci .
Mon E-Mail: irizia@yahoo.fr 


23/12/02


Le Hamas: "nous ferons un pont vers le paradis 

avec les crânes des Juifs"

Le site internet du Hamas

(http://www.palestina-info-melayu.net) 

a publié le 16 décembre 2002 une affiche prônant 

le meurtre des Juifs pour la seule raison de leur judeïté, 

dans le cadre de la lutte sainte [le Jihad] contre eux.


http://www.idf.il/newsite/french/12100.stm 


23/12/02

Pourquoi devrait-on choisir entre la France et l'Algérie? Ne peut-on pas être à la fois Français, juifs et d'origine algérienne? Je suis née en France, je n'ai jamais connu que ce pays -mon pays- et n'en connaîtrai probablement jamais aucun autre. Il n'empêche: depuis toute petite, j'entends Raymond Leyris, je mange de la tchecktchouka et j'imagine le pont suspendu de Constantine en écoutant parler les vieux. J'ai trois cultures: il me semble que renier l'une d'entre elle serait comme m'amputer d'une partie de mon corps.

Magali Guedj


23/12/02

Voici quelques noms (présents dans ma généalogie), Tous ayant vécu en Algérie.
DRAN
SOUSSAN
BEN HAIM
BEN GUIGUI
GHIGUI
ABOU
YAFFI
SAIER
BOUMENDIL
BENSAID
MESGUICH
MONSONEGO

Marie Duclau


23/12/02

Chers collegues,

Je suis un chercheur americain qui fait des recherches sur les relations musulmans-juifs pendant la deuxieme guerre mondiale. J’ecris pour demander votre assistance avec mes recherches – et je m’excuse pour mes fautes linguistiques!

Une question specifique m’interesse: est-ce qu’il y’avait des sauveteurs arabes, des arabes qui ont sauve les Juifs de l’oppression de nazisme/fascisme/vichy? Selon les institutions officielles commes Yad Vashem en Israel, il etait quelques dizaines des sauveteurs musulmans -- de la Turquie, de l’Albanie, et de Bulgarie -- mais aucun des arabes.
De toute facon, je crois qu’il y’avait aussi les sauveteurs arabes; les opportunites pour le sauvetage etaient si nombreaux, surtout dans la Tunisie, a cause de l’occupation des allemands et les camps de travaux forces qu’ils ont etablis. En passant, j’ai trouve quelques petites references des arabes individuels qui ont assistes les juifs individuels dans la litterature secondaire de cette periode, mais les histoires ne sont pas specifiques ou definitives. Cependant, je serais tres heureux si quelgu'un peut me proposer les autres sources de recherches ou les personnes que je peux contacter sur ce sujet.

SVP, contactez-moi par email a l'addresse suivante:

robs@washingtoninstitute.org.

Avec gratitude et remerciement,

Robert B. Satloff
Rabat, Maroc


23/12/02

Voici 2 rabbins oubliés :
Le Grand Rabbin Joseph BENHAIM, Daïane de Relizane (1839-1927)
Rabbi Mimoun ABOU de Mostaganem

Marie


23/12/02

Compliments

c'est un regal de se connecter à zlabia, que d'émotions en parcourant vos pages bravo

nedjma


23/12/02

Personnellement je placerai le nom d'Henri Chemouilli en tête de la liste des personnalités contemporaines juives originaires d'Algérie. Il a toujours marqué de l'intérêt pour l'histoire des juifs d'Algérie et ses écrits à propos de l' Algérie sont emprunts de réalisme et sans parti pris. J'ai aussi apprécié sa vision de l'Algérie algérienne à travers certains de ses écrits et on percoit chez lui que l' Algérie n'est pas uniquement sa terre natale. Si cela dépendait de moi j'en ferai un citoyen d'honneur de l'Algérie indépendante car il meriterait vraiment une telle distinction. Sincéres salutations à tous les juifs d'Algérie de la trempe d'Henri Chemouilli, de la part d' un citoyen arabe d'Algérie.


23/12/02

Quelqu'un aurait-il des photos de Bou-Saada ?
Pourriez-vous les mettre sur votre site ?
Bonne fin d'année à tout le monde.

Kaddour


23/12/02

La France et le Hezbollah


Monsieur Haïm Abraham est le malheureux père d’un des trois soldats israéliens, enlevé à la frontière libanaise par le Hezbollah le 7 octobre 2000 avec la complicité totale du Liban (et sous les yeux… de la Finul). Dans un entretien avec Jacques Huntziger, ambassadeur de France en Israël le 6 novembre 2002, M. Abraham lui a déclaré: «... la France, vous avez de nouveaux amis à Beyrouth».



Nous devons rectifier; non, il ne s’agit pas de nouveaux amis. L’ambassadeur français au Liban, Philippe Lecourtier vient de déclarer «Pour la France, le Hezbollah fait partie du paysage libanais». Quelle nouvelle ! Et quelle révélation que ce pays, si choyé par Jacques Chirac (et ses prédécesseurs), héberge et soutient des terroristes.

Nul doute que la déclaration de l’ambassadeur à Beyrouth fera plaisir au petit noyau d‘honnêtes gens qui se rappellent le massacre de 88 soldats français dans le bâtiment "Le Drakkar" ou de l’assassinat de l’ancien ambassadeur de France au Liban, Louis Delamare.



Il faut dire que la France n’a jamais osé déplaire au ‘Hezbollah ni à son commettant: Téhéran. On se rappellera l’expulsion scandaleuse de France de Gordji, assassin de l’ancien Premier ministre iranien Chapour Bakhtiar.



L’art de la litote de certain diplomate traduirait leur tête de linotte si malheureusement il ne s’agissait pas, comme dans la présente affaire, de s’allier à des criminels.



Michel Grinberg

Pour "Etoile-liante"


23/12/02

EREVTOV J'aimerai complete la genealogie de ma famille baroukh cousin et cousine du monde entier contactez moi merci sarah

SARAH BAROUKH


23/12/02

Sujet: je cherhe famille temam du mo,nde entier
From: alexander guettaf temam

Comments

salut ,je suis de biskra famille guettaf temam y a t il une personne pouvant m aider pour aboutir … mes vrais ascendats (origines) 

email: ktemam@caramail.com 


23/12/02

en visitant votre site pour savoir plus d'informations sur votre culture, j'ai constaté que vous attribué beaucoup d'éléments qui appartiennent à la ciivilisation arabo-berbéro-musulmane aux juifs d'Algérie, chose qui est toute à fait fausse, je vous pris de relire l'histoire de l'Afrique du nord.

Jeune algérienne


23/12/02

bonjour! j'aimerai bien retrouver les coordonnées d'une amie que j'ai perdu de vue depuis longtemps.Elle s'appelle Joelle Schneider née à boufarik ( alger) dans les années 60-62 et dont le pere était Pr. de chimie à l'université d'alger à l'époque.De plus on a été pendans quelques années en cité-u elle et moi...je vous remercie d'avance , je suis convaincu que vous trouverez une trace pour moi.


amorkes@yahoo.fr 


23/12/02

Où Clinton enfonce Arafat et la cabale du Rêve Brisé ! (info # 012212/2)

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Le week-end dernier, Bill Clinton, le 42ème président des Etats-Unis, s’adressait à Genève à un parterre de 600 invités, parmi lesquels on remarquait la présence de nombreuses personnalités politiques ainsi que de dizaines de diplomates.



Durant son intervention d’une heure, monsieur Clinton a mis en garde contre les dangers d’une globalisation sans réserve, lui préférant le terme d’interdépendance entre les nations. Cette mise au point revêtait même une valeur symbolique, puisque la salle dans laquelle l’ex-président s’exprimait se situe à un jet de pierre du Palais Wilson, dans lequel fut érigée la Société des Nations, précurseur de l’ONU actuelle. Et c’est dans le cadre de la SDN qu’avait été pour la première fois développé, au premier quart du siècle dernier, le concept de l’interdépendance entre Etats souverains.



Pour Clinton, l’exemple le plus fâcheux des aspects pervers d’une globalisation non maîtrisée, se retrouve dans l’internationalisation du terrorisme et dans l’impasse proche orientale. Grand architecte des négociations de paix entre les Irlandais et entre Palestiniens et Israéliens, l’ancien pensionnaire de la Maison Blanche n’avait pas hésité à se rendre à Gaza afin de s’exprimer devant l’assemblée constituante de l’Autorité palestinienne. Jouissant de l’amitié et de la confiance des Arabes et des Israéliens, il avait été le premier président américain à déclarer la nécessité de la création d’un Etat palestinien indépendant, coexistant avec un Etat d’Israël aux frontières sûres et reconnues. Il fut également le premier à embrasser le principe fondamental d’Oslo, selon lequel la paix devait s’établir en échange de territoires versés à la Palestine en devenir.



Avec Jimmy Carter, aucun chef d’Etat américain ne s’était autant investi dans la recherche d’une solution négociée au Moyen Orient, payant de sa personne et n’hésitant jamais à risquer sa popularité au profit de la construction d’un règlement permanent de ce conflit. Pour Bill Clinton, l’échec de ses tentatives représente certainement le plus grand regret de ses deux exercices à la tête l’exécutif américain.



Le week-end dernier, à Genève, Bill Clinton est revenu longuement sur ce qu’il considère être la cause de la poursuite des violences israélo-palestiniennes. Pour Clinton, excluant en cela catégoriquement les thèses du Rêve Brisé, toute la responsabilité de l’échec des négociations de Camp David et partant, la culpabilité du bain de sang dans lequel le Proche Orient a replongé, est imputable au "déficit de leadership de Yasser Arafat" !



Usant de termes très précis, monsieur Clinton a directement accusé le raïs palestinien d’être à l’origine du décès des 600 Israéliens et des 1800 Palestiniens de l’Intifada, confirmant ainsi et en tous points, la théorie du Porte-avions dégagée par la Ména. Pour l’instigateur du sommet de Camp David, à l’instar de notre propre analyse, "Arafat a refusé l’instauration d’un véritable Etat palestinien en Cisjordanie et à Gaza". Camp David offrait une opportunité historique unique aux Palestiniens afin d’accéder à leur indépendance et cette occasion a été rejetée par Arafat, qui commettait ainsi "une erreur stupide et colossale" !



Coupant court aux extrapolations funambulesques d’Enderlin, soutenues par le Quai d’Orsay et par les médias français, Bill Clinton nie le partage des torts dans l’anéantissement de la paix, soulignant que "sept ans de progrès pour la paix ont été interrompus par la faute unique du leader palestinien" et que "les troubles ont commencé avec l’incompréhensible refus d’Arafat d’accepter ses propositions de paix".



Le témoignage du principal acteur de la tragédie de Camp David est fort éloigné de la tragicomédie lénifiante du Rêve Brisé, que France 2 a jugé pédagogique d’infliger à ses téléspectateurs deux soirs durant.



Etant bien évident, que la différence entre le rapport de celui qui avait tout risqué pour sauver la paix et la version semi-officielle française, proposée à posteriori, est irrémédiable. Plus encore, ce différend, le différend, notre différend est à la base de toute la compréhension de l’Intifada, ainsi que du choix des remèdes adaptés pour y mettre un terme.



Selon Bill Clinton, Ehud Barak, Sami El Soudi, le Professeur Sari Nusseibeh (qui vient de se faire démettre comme un malpropre par Arafat de sa position de représentant de l’Autorité palestinienne pour Jérusalem), la Ména et d’autres observateurs, Yasser Arafat a refusé l’édification d’un Etat basée sur la terminaison consensuelle de l’état de guerre avec son adversaire, lui préférant l’option du terrorisme illimité, avec pour finalité à terme l’éradication d’Israël.



Pour parvenir à ses fins, il a déclenché, dès son retour de Camp David, une campagne de violence ayant généré, du fait de l’exercice par Israël de son droit de légitime défense et du devoir de protéger ses citoyens contre les assassinats collectifs (voir l’article d’Ilan Tsadik de vendredi et les citations d’Abou Mazen à cet égard) la destruction des acquis palestiniens datant du processus d’Oslo.



Pour le surplus, et malgré la mobilisation d’Hubert Védrine à cet effet, Arafat a échoué dans sa tentative de faire protéger son choix belliciste par une force internationale d’interposition, sacrifiant ainsi ses concitoyens, les victimes civiles israéliennes du terrorisme et l’économie régionale – la capacité des habitants de la région à travailler afin de subvenir à leurs besoins – pour rien !



En face, l’Etat, les médias français et leurs journalistes de cour, Enderlin, Gresh, Vidal, Cypel, Roche, Jacob, Naïm, qui ont inventé ou diffusé un scénario cousu de fil blanc, d’après lequel Bill Clinton et Ehud Barak auraient au contraire œuvré pour l’échec de la paix et afin d’humilier le chef de l’Autonomie palestinienne.



En fait, leur approche révisionniste de l’histoire des négociations de paix a un but fonctionnel : permettre de prétendre, contre toute bonne foi et à l’envers de toute logique, que l’Intifada serait le résultat d’une tentative israélienne en vue de réoccuper les territoires de l’Autonomie et d’annihiler les espoirs de la population palestinienne. A en croire Abou Mazen, le numéro deux de ladite Autonomie, l’Intifada serait pourtant une initiative armée ayant eu pour objectif la libération de la Palestine, à laquelle les Israéliens seraient en train de riposter.



La fonctionnalité de l’imposture du Rêve Brisé, n’est rien de moins qu’une tentative d’inverser les rôles entre agresseurs et agressés et entre les militants pour la paix et ses saboteurs. Et le fait que les élites françaises soient parvenues à imposer au public français cette autre fiction, imputant ainsi à Israël des torts qui ne sont pas les siens et proposant une explication à l’assassinat de ses civils, procède d’une constatation alarmante. C’est bien ici qu’il faut parler à bon escient d’une campagne médiatique – campagne puisqu’on y propage sur une large échelle une version de l’histoire qui dément le témoignage de deux chefs d’Etats de pays démocratiques, en principe amis de la France -, Clinton et Barak, dans le seul objectif de justifier l’usage de la violence par Yasser Arafat.



Campagne encore, parce qu’on y occulte le témoignage du président américain, ou pire, comme l’a fait Alain Gresh dans le Monde Diplomatique, qu’on n’hésite pas – au milieu d’une bordée d’insultes américanophobes primaires - à prétendre sérieusement que William Jefferson Clinton avait été envoûté par les Israéliens, au point de perdre le contrôle de ses actes. A en croire le discours de Clinton à Genève, le charme dure toujours !



Il faudra bien une fois que les politiciens et les journalistes impliqués dans cette arnaque gigantesque s’expliquent. Il leur sera demandé les raisons pour lesquelles ils auront corrompu les sources de compréhension de leurs compatriotes, les poussant sciemment à haïr Israël et les juifs. Il leur sera demandé d’où leur vient cette énergie, en plus, à accuser les intellectuels juifs des crimes de parti pris en faveur de la peste qu’ils auront eux-mêmes commis et de complots qu’ils auront eux-mêmes ourdis ?



Il le faudra bien, car la haine d’inspiration raciste a déjà fait beaucoup trop de ravages dans leur pays et que notre rôle bien compris d’intellectuels, avec ceux qu’ils appellent déjà les porte-flingues d’Israël, nous fera maintenir ce questionnement jusqu’à ce que l’abcès odorant soit complètement sec.



Dommage aussi que le journal genevois la Tribune de Genève ait eu le mauvais goût de verser du côté de l’arbitraire, en publiant un commentaire du discours de monsieur Clinton. Un certain Pierre Meyer, se sentant pousser des ailes, d’intituler son propos Désinformation (sic !)  et d’y expliquer que l’ex-président était un sacré menteur et que Yasser Arafat n’avait pas refusé à Camp David l’établissement d’un Etat palestinien.



Meyer est visiblement convaincu par la théorie du Rêve Brisé et par le battage qui l’a répandu, au point de corriger le vécu d’un président des Etats-Unis et de prétendre qu’il s’acharne à faire porter par Arafat le chapeau d’une impasse collective ! (sic) Et de philosopher, dans la suite de Maître Enderlin : Ca n’aurait été qu’un épisode malheureux de plus du conflit israélo-palestinien…



Et la Tribune de Genève, de conclure – on est sous hypnose, pincez-vous ! – que c’est le président américain qui a semé le trouble au Proche-Orient, comprenez par-là, que c’est Clinton et pas Arafat qui est à l’origine de l’Intifada. Fada !



J’ai cité le commentaire suisse, parce qu’il est systématique d’un délire. Un délire dans lequel on décide de donner du crédit à la fiction et de mettre en doute la réalité du récit d’un honnête homme, fervent et efficace militant de la cause de la paix, jusqu’à insulter son témoignage. Un délire médiatique, créé de toutes pièces par une campagne malhonnête, qui a réussi à supplanter la vérité dans les esprits candides par un sens du politiquement correct, devenu, à force de durer, politiquement abject.



Abject, comme l’acte du rédacteur en chef de ce journal, qui, dans la même édition, publie le résumé du discours de Clinton et explique, juste après à ses lecteurs, qu’il est un désinformateurs, un menteur et un pyromane. 


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