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29/09/03

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29/09/03

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A bientot.


29/09/03

Bonjour.

 
 
    Votre liste des juifs originaires d'Algérie et célèbres est très intéressante, parfois même surprenante car j'ignorais que certaines des personnalités nommées venaient du même pays que moi (je suis né et j'ai vécu vingt ans à Ménerville, actuellement Thenia).
    A la lecture du "Journal d'un râleur" de Roland Bacri, je suis en mesure d'ajouter deux noms de musiciens célèbres à votre liste. Il s'agit en fait de deux autres Bacri mais qui sont mieux connus sous un pseudonyme :
 
    - Jean Claudric, ami et chef d'orchestre d'Enrico Macias, pour qui il composa "Les filles de mon pays" et "Les gens du nord". Jean Claudric se nomme réellement Jean-Claude Bacri et est le propre frère de Roland Bacri.
 
    - Eddie Marnay, décédé cette année, de son vrai nom Raymond Bacri, grand auteur de chansons célèbres dont la délicieuse "Ballade irlandaise". Egalement natif de Bab-el-oued en 1920, Eddie Marnay n'était cependant pas de la même famille que Roland Bacri.
 
    Pour Jean Claudric, je tiens l'information de Roland Bacri en personne, dont j'ai eu le plaisir de faire la connaissance récemment.
    Quant à Eddie Marnay, ma source est la page 145 du "Journal d'un râleur" de R.B. (écho du 4 décembre 1977) et elle est aisément recoupée par de nombreux sites Internet.
 
    Bien amicalement.

Remi


29/09/03
salut bravo pour votre site je commence des 
recherches sur ma famille Hadjadj ayant vecu en Kabilie
 de jusqu'en1962 mais pas de traces mon pere etait de 
Portguedon non loin de Tiziouzou merci de pouvoir 
m'aider 

Gregory


29/09/03

Suject: famille LEVY
 

JE RECHERCHE DES PHOTOS OU FILMS SUR TLEMCEN ET BENI SNOUSS MERCI

PIERRE LEVY


29/09/03

Sujet: signification

 

j'aimerais savoir ce que signifie pour une femme juive le port du foulard car ma grand mère en algérie le potait. merci d'avance

reine


29/09/03

CELEBRITES

Bonjour,

 

Vous pouvez ajouter à la liste Daniel Lévi, chanteur, né à Constantine.

 

Bonne journée

 

Rémy Muller


22/09/03

Beth Hatefutsoth is Open to the Public

Beth Hatefutsoth, The Nahum Goldmann Museum of the Jewish Diaspora, is open to the public with all of its usual activities.

During the last year the Museum has run into financial problems which have caused many difficulties, but throughout everything its loyal and devoted staff have continued working.

Beth Hatefutsoth belongs to the Jewish People and fulfils an important role in strengthening the bond with our roots and in presenting Jewish history and culture. We feel that it is our duty to do everything possible in order to ensure the continued existence and activities of the Museum.

We would like to thank all of our friends both in Israel and around the world for their steadfast and loyal support and look forward to seeing you here at Beth Hatefutsoth very soon.

 

Shana Tova - A Happy New Year & Well Over the Fast

http://www.bh.org.il


22/09/03

salut bravo pour votre site je commence des recherches 
sur ma famille Hadjadj ayant vecu en Kabilie de jusqu'en
1962 mais pas de traces mon pere etait de Portguedon 
non loin de Tiziouzou merci de pouvoir m'aider 

gregory.evans@ntlworld.com


22/09/03
bonjour 
tout d'abord je vous remercie pour vous site ..
et je vous demande de m'envoyer la recette de 
preparation du pate du dyoul (le bourek  )
priere de m'envoyer la réponse meme si negative  
              
je vous remercie d'avance


22/09/03

je voudrai retrouver mes copains de st antoine a oran. ainsi que mes camarades de classe du lycee ferdinand buisson a oran

 

paul sixou
cartagena, españa 30392
murcia \

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22/09/03

Les comploteurs de la parenthèse au chevet de la terreur (info # 011909) [analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency

 

Le président français Jacques Chirac persiste dans son projet d’aider Yasser Arafat à construire son porte-avions, sans se soucier du qu’en dira-t-on. A terme, l’objectif  du pensionnaire de l’Elysée consiste à promouvoir l’éradication de l’Etat d’Israël au profit d’un Moyen-Orient panarabe. Au regard des initiatives incessantes dans ce sens de Chirac et du ministère français des Affaires Etrangères, sur lequel il exerce une autorité sans partage, il n’y a guère matière à se méprendre.

 

Certes, le premier des Français fait une lecture de la situation suffisamment éclairée afin de se rendre compte qu’il ne dispose pas des appuis nécessaires à précipiter les choses mais cela ne signifie pas pour autant qu’il juge inutile d’œuvrer. C’est donc à un travail de sape qu’il se livre, se limitant pour le moment à agir sur le plan diplomatique. La France investissant dans ce projet dit de la ¹Parenthèse une énergie considérable, doublée d’une conduite conséquente et déterminée.

 

Peu importe à Chirac que Yasser Arafat n’ait jamais eu l’intention de mettre à exécution l’accord d’Oslo. Quelques jours après l’avoir paraphé, Arafat ne se vantait-il pas, en Afrique du Sud, d’avoir signé un accord pour du beurre. Et lorsqu’il regagna la Palestine, en provenance d’Egypte, pour soi-disant mettre en chantier la paix des braves qu’il venait de signer, son véhicule et ceux de sa suite, étaient bourrés d’armes et de terroristes dissimulés.

Le jour même de la cérémonie de l’espoir, avec Rabin et Clinton, à la Maison Blanche, le Chairman de l’Autorité Palestinienne confiait à ses proches, en présence d’El-Soudi :

 

"Au Liban on nous avait cantonnés au début dans une minuscule enclave près de la frontière d’Israël ; en quelques années, j’étais devenu le roi de Beyrouth. Aujourd’hui, on nous remet un territoire autonome, personne ne peut imaginer jusqu’où s’étendra bientôt notre royaume !"

 

Dans sa lettre de démission au raïs (non rendue publique), Mahmoud Abbas écrit qu’Arafat n’a pas cessé de lui mettre les bâtons dans les roues afin de l’empêcher d’avancer sur la Carte Routière. Il avait aussi interdit à tous les médias de Palestine de parler favorablement de son Premier Ministre et agissait de manière à s’assurer que, dans les ministères, les fonctionnaires refusent d’exécuter les instructions de Mahmoud Abbas, les inondant de contre-ordres et de menaces. Parmi les forces de sécurité, à en croire Abbas, Arafat s’était assuré que personne n’apportât son concours au Premier ministre palestinien.

 

Comment peut-on imaginer, dans ces conditions, que la paix eût la moindre chance de prévaloir ? Non seulement Arafat n’a jamais voulu la paix et son corollaire, un Etat palestinien pacifié le long des frontières d’Israël, encore n’a-t-il pas cessé d’agir pour entretenir la violence et le terrorisme sous le couvert fourbe de la poursuite du compromis consensuel.

 

Mais peu en importe à Chirac, disais-je donc. Le Président français étant impliqué, par conviction personnelle, confortée seulement, et secondairement, par des intérêts vénaux substantiels, dans une alliance arabe dont le but inavoué est la disparition de l’Etat hébreu, unique démocratie du Proche-Orient. Les partenaires de cette autre coalition sont, outre Arafat et Chirac, Rafik Hariri – qui représente, dans ce complot, à la fois la dictature syrienne (qui occupe son pays le Liban) infréquentable publiquement par un président français et les intérêts liés à la cour saoudienne, avec lesquels Hariri a construit sa richesse – et Boutros Boutros Ghali - diplomate copte d’origine égyptienne, ex-ministre des AE de son pays et ex-Secrétaire Général de l’ONU, ex-président de la francophonie, élu avec l’appui massif de Chirac – dont le rôle dans cette cabale consiste à assurer le lien avec les autre dirigeants arabes, notamment par l’intermédiaire de son disciple Amr Moussa, aujourd’hui Secrétaire Général de la Ligue Arabe.

 

Voilà enfin clairement énoncée la description de l’occupation qui explique logiquement les innombrables rencontres à Paris entre Chirac et le fantoche milliardaire Hariri. A noter que si le président français entretenait le moindre intérêt authentique pour le devenir du Liban, il rencontrerait occasionnellement, aussi, le dernier Premier ministre légitime de ce pays, d’avant l’invasion syrienne, le très respectable et très décent général Michel Aoun, qui réside en permanence dans la capitale française.

 

L’objectif intermédiaire immédiat de cet hétéroclite équipage, mû sans l’ombre d’un doute par la haine commune des Israéliens, consiste à réclamer l’envoi d’une force d’interposition en Israël, sous le prétexte d’une pseudo nécessité impérieuse de protéger les populations palestiniennes de l’agressivité de Tsahal. Arafat a appelé cette force de ses vœux chaque jour de cette semaine, Boutros Ghali lui a fait écho sur toutes les chaînes de télévision qui voulaient bien le recevoir, de TV5 à CNN et Chirac a tenté d’arracher à Schroeder une formule sibylline allant dans le même sens, âprement discutée en tous cas, lors du conseil des ministres commun de jeudi à Berlin :

 

"Jacques Chirac et Gerhard Shroeder estiment venu le moment de débattre à l'ONU, d'une conférence de paix internationale sur le conflit israélo-palestinien <b>et d'une ''présence à définir'' sur le terrain.</b>".

 

Une présence pourquoi faire ? Les seuls Palestiniens menacés par l’armée des soldats hébreux étant les poseurs de bombes humaines, non seulement qualifiés par la loi internationale de criminels contre l’humanité mais aussi, de terroristes, par l’Union Européenne.

 

Chirac et Schroeder entendent-ils qu’il est nécessaire de protéger, par l’envoi d’une "présence à définir" ², les chefs d’organisations terroristes ? - Certes non. L’envoi d’une force d’interposition, quelle que soit sa composition, sa taille et son mandat précis, remplira en vérité le rôle stratégique défini par Arafat au commencement de l’Intifada : Cette force ne protégerait pas les Palestiniens mais interdirait l’accès du territoire de l’Autorité Palestinienne aux forces israéliennes.

 

C’est toujours d’une résurgence du projet du porte-avions qu’il s’agit. Les Palestiniens favorables à la solution pacifique des 2 Etats pour 2 peuples, pourtant, n’ont rien à craindre d’Israël ; on a vu Mahmud Abbas et Dahlan se promener en toute amitié dans les bureaux mêmes du Premier ministre israélien. Ce projet s’emploie donc à défendre les autres, ceux qui ont besoin d’être protégés de la présence de Tsahal afin d’amasser des armes de guerre, de confectionner des explosifs et d’enrôler, puis d’entraîner, les futurs terroristes-suicides, les meilleurs garants de ce qu’aucun accord de cohabitation pacifique ne soit jamais respecté entre Israéliens et Palestiniens.

 

Au plan politique, l’objectif recherché par les conspirateurs parenthésistes n’est pas moins pervers. Il consiste à remettre à Yasser Arafat – le roi de Beyrouth – un Etat de facto, dont la pénétration par les Israéliens serait interdite par la présence à définir. Un porte-avions inaccessible, d’où Arafat pourra préparer la mère de toutes les batailles à l’ombre des baïonnettes des Casques vermeil occidentaux. Un Etat-porte-avions, qu’il obtiendrait instantanément, sans renoncer (bien au contraire !) à la destruction d’Israël, sans mettre fin à l’état de belligérance, sans abandonner l’arme du terrorisme (qui lui aurait valu le porte-avions), sans avoir à renoncer à noyer le pays des Hébreux sous des millions de descendants arabes des réfugiés de 48 et sans devoir reconnaître aucune frontière avec Israël.

 

En plus d’être terriblement haineux, ce projet de porte-avions a ceci de pernicieux qu’il maintient Arafat en état de survie politique artificielle. Il donne de l’espoir aux assassins – les encourageant à continuer de détruire des autobus remplis de Juifs, des amis sûrs étant à pied d’œuvre pour concrétiser votre victoire – et il prive les pacifistes palestiniens (les vrais !) du même espoir, les faisant passer pour des traîtres et des défaitistes – leur disant : nul n’est besoin de faire des concessions à Israël ni de neutraliser les terroristes, dans quelques temps, les Palestiniens recevront ce que vous cherchez à obtenir, un Etat, sans avoir fait la moindre concession !        

          

Voici ce qui explique, entre autres, que le cabinet Abbas ait été si royalement ignoré par le gouvernement français, de même que l’initiative Nusseibah-Ayalon. Appeler au succès de la Carte Routière tout en priant et en agissant pour qu’il ne vienne pas, voilà une attitude caractéristique de la diplomatie française au Proche-Orient, depuis de longues années.

 

L’entêtement de Chirac n’y fera rien, la Parenthèse ne passera pas, le porte-avions ne verra jamais la mer et les Casques vermeil ne sont le fruit que de mon imagination en mal d’exemples virtuels. Parce que, même en dehors des Etats-Unis, il y a suffisamment de chefs de gouvernements européens qui refuseront de considérer l’envoi d’une présence à définir et qui sont de plus en plus nombreux à reconnaître, derrière l’acharnement délirant de la France à doter un éradicateur forcené d’un sanctuaire inviolable, les inclinaisons carrément malsaines de son président.

 

Pour ce qui est de l’influence de ce que nous savons sur notre considération pour le régime français, nous éprouvons envers Chirac autant d’amitié que les Français éprouveraient pour quelqu’un qui s’active à détruire la France. Ce qui me semble, au fond des choses, absolument naturel.

 

Notes 

¹ D’après le témoignage du directeur du Monde, Jean-Marie Colombani, sur la théorie parenthésiste de Jacques Chirac à propos d’Israël (in "Tous américains ?" chez Fayard)

 

² C’est la formule la plus hardie que les Français auraient extirpée aux Allemands. Le doute plane quant à la véracité de l’acceptation de Schroeder, les Germains ayant refusé que cette formule ne figure au communiqué commun. C’est Reuters qui, dans une dépêche d’hier de 14h 38, est la seule à en faire état, citant une source française


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