Forum 96

je suis etudiant en langue (interpretariat),je suis musulman,et je veux bien apprendre l'hebreu;je lance un appel à tous ce qui peuvent m'aider à me contacter sur mon site. merci

omourid.djamel@caramail.com

16/12/02

Sujet: faveur et remerciment

je suis de la fammille choukroun de bone maintenant mon nom est tazelmati et j'aimerai si une personne peut m'envoiyer une mézouza en algerie.merci

zoranet@2000yahoo.fr

16/12/02

je n'arrive pas à correspondre à l'adresse de MMrs BENCHAHEL Habib et Lamine CHOUCHOU Merci de me communiquer leur coordonnées.

16/12/02

Sujet: Nouveau Forum

le 1ier Oracle Forum pour les DBA au mahgreb

khayi@ask-khayi.com

16/12/02

salut

j'ai decouvert votre site par coincidence seulement je voudrais savoir votre votre opinion à propos de ce qui se passe en palestine et ce que fait l'armée israelienne dans les territoires palestiniens , donner des informations à propos de boghari( actuelle ksar el boukhari) car à ma connaissance il y avait une population juive tres importante.
salut.
debbachemed@hotmail.com

16/12/02

Sujet: Oued Zem

je cherche des contacts avec des gens qui ont vecu a oued zem -Maroc durant l`occupation par les francais merci

b.bouba

16/12/02

Sujet: onomastie : origine des noms

Je fais une recherche sur les marques implicites de la judaïté dans l'oeuvre LE DESERT d'Albert MEMMI. Cela m'aiderais de connaître l'origine des noms ou prénoms : Jubaïr, Maïra, Sebbagh ainsi que l'origine du peuple Majnouni. J'ai essayé de me renseigner sur harissa.com sans succès. Vous pouvez me contacter : manon.zins@libertysurf.fr ou encore sur l'adresse de mon père, car la mienne ne marche pas toujours :jaczins@hotmail.com merci d'avance.

manon.zins@libertysurf.fr

16/12/02

Sujet: recherche le louange de shimon bar yo'hai

shalom je suis constantinois et je recherche la prierre ou louange de shimon bar yo'hai constantinoise sur cd ou a telecharger merci

bruno.nakache@club-internet.fr

16/12/02

Concernant « Rêver la Palestine »…

- lettre envoyée au Premier Ministre J.P. Raffarin

Monsieur le Premier Ministre,

Je souhaiterais par cette lettre attirer votre attention sur un livre édité par Flammarion, qui a pour titre : « Rêver la Palestine ». Ce livre est un roman écrit par une adolescente et s’adresse à un public jeune.

J’ai découvert ce roman au rayon des livres pour enfants ; or, ce livre est rempli d’horreurs et de violences antisémites. Des jeunes Palestiniens, héros de cette fiction, se battent contre des soldats israéliens, les assassinant froidement. Selon eux, « les Juifs sont un peuple maudit, il faut tuer tous les Israéliens » ! Il y a dans chaque page de ce récit, une évidente diabolisation des Juifs, ponctué d’appels à la haine et à la guerre sainte. « Le Djihad est légitime », disent-ils, « car ceci est notre terre, et Allah nous a ordonné de mener cette guerre sainte » !

Les Editions Flammarion font une grande promotion de ce livre en France, le présentant comme un roman héroïque d’une grande qualité littéraire.

En tant qu’aumônier de prison, je ne peux qu’être effrayé de cette « promotion » et de ce genre de lecture qui amènera de plus en plus de jeunes à Fleury-Mérogis, pour cause d’actions antisémites ou de délit anti-juifs. Vous n’ignorez pas, Monsieur le Premier Ministre, combien la situation en France, liée avec le conflit au Moyen-Orient, est explosive. Depuis la dernière Intifada, de nombreux jeunes des banlieues, musulmans ou islamisés, n’attendent que des prétextes pour s’attaquer physiquement aux Juifs de France. Cela a déjà commencé, nous le voyons.

En tant que chrétien, je veux dénoncer cette littérature qui incite à la haine raciale. Dans notre pays, chacun doit pouvoir se sentir en sécurité. Le peuple juif a déjà vécu des temps extrêmement difficiles par le passé en France ; il est impensable qu’aujourd’hui, les Juifs revivent la haine et la persécution.

Monsieur le Premier Ministre, vous êtes le chef de notre gouvernement. A ce titre, vous pouvez exiger le retrait de ce livre diffamant.

[…]

Pasteur G. Fruhinsholz

16/12/02

Sujet: je suis jeunefranco-algerien residant a biskra et souhaite rencontrer dans le quartier de la gare a cote du grand jardin publc et souhaite rencontre des juifs de biskra et souhaite presenter son aide a qui le desire (etat civil, recherche; etat actuel de la ville etc.....)
From: mehdi boucetta.

dartaniant@caramail.com

16/12/02

Qui pourrait m'expliquer pourquoi le nom de famille
"ACHOUR"
se trouve dans la communauté sépharade et dans la communauté arabe d'Afrique du Nord ?
Merci d'envoyer les informations à :
robert.achour@wanadoo.com

16/12/02

Entendu hier soir (14.12.02) sur Kol Israël :

Le Keren Hayessod vient d'ouvrir à Genève sa campagne de collecte de fonds pour l'année 2003.

A cette occasion des personnalités importantes parmi lesquelles l'actrice Sophia Loren ont été invitées. Le correspondant de Kol Israël a précisé que l'actrice est venue bénévolement, en signe d'identification avec l'Etat d'Israël.

Kol Israël: http://bet.iba.org.il/

16/12/02

Sujet: patriarche

je suis étudiant et dans le cadre du cours de religion, je dois citer trois noms de patriarches qui apparaissent dans l'ancien testament. quelqu'un pourrait-il m'en citer trois?

olivier

16/12/02

Noir, impair et manque ! (info # 011012/2)

Par Albert Capino © Metula News Agency

Marie-France Garaud et Alexandre de Marrenches, éminences grises de Giscard, considéraient que l’Irak, laïc et baasiste, représentait le seul rempart, dans un Moyen-Orient chiite, contre l’islamisme déjà envahissant. Ils n’avaient peut-être pas tort dans l’absolu, mais il y avait loin de la théorie à la pratique.

1973 : On était au lendemain de la guerre du Kippour

Craignant pour son approvisionnement en pétrole, la France propose à l’Irak l’installation d’une centrale nucléaire « civile », réplique d’Osiris à Saclay, contre la fourniture régulière, préférentielle et à bas prix, d’hydrocarbures.

1974 : Visite des sites, préparation technique et administrative, la France forme des scientifiques irakiens jusqu’en 1975, date du contrat Osirak.

Septembre 1975 : Jacques Chirac, à l’époque 1er Ministre et Michel d’Ornano, Ministre de l’Industrie, organisent une petite fiesta à l’Elysée pour fêter l’événement, sauterie qui se termine par une déclaration surprenante de Saddam (trop de champ peut-être ?) : « L’accord qui vient d’être conclu avec la France est le premier pas concret vers la fabrication de l’arme atomique arabe » (ouch ! le point-presse en a encore des sueurs froides...)

Ajoutez à cela que, puisque l’Irak (2ème réserve de pétrole derrière l’Arabie saoudite) n’avait nul besoin d’énergie nucléaire, ceux qui étaient restés sobres pendant la surprise-party et ceux qui n’étaient pas atteints d’accès de surdité épisodique ne nourrissaient déjà aucun doute quant à la finalité du plan de Saddam.

Silence radio gêné – on venait de perdre aussi la voix - pendant 7 mois, avant d’entériner le deal, en catimini, le 18 juin 1976.

Menahem Begin, le Président du Conseil israélien de l’époque, n’appréciait que modérément l’irresponsabilité affairiste de Paris et préparait déjà, ce qui allait être connu plus tard sous le nom d’opération Sphinx, le 7 juin 1981, et qui réduirait temporairement à néant le projet d’arme atomique irakienne.

1982 : C’est la guerre Iran-Irak.

Mitterrand est aux commandes et Mauroy à Matignon.

Saddam réclame des avions équipés de missiles pour couler les pétroliers iraniens. C’est un plan dément mais qu’à cela ne tienne : la France lui prête ses « Étendard » de l’aéronavale équipés d’Exocet !

1985 : Saddam gaze des villages kurdes en mars et envoie Tarek Aziz à Paris pour y rencontrer Roland « Elf » Dumas. Pas de problème, Paris n’a pas d’intérêt chez les Kurdes ! La France fournira sans interruption armes, pièces détachées et formation : Giat industries et Dassault Aviation sont notamment dans le coup. Les contrats pleuvent, vedettes, hélicos, missiles, chars, entraînement des pilotes sur la base de Landivisiau mais aussi recherche et matériel chimique, bactériologique et nucléaire. Ouf !

Et l’ardoise s’alourdit, car, en plus, le tyran de Bagdad est mauvais payeur, mais qu’importe, on fait bosser l’industrie française d’armement et c’est le contribuable français qui raque !

On rase gratis l’abominable dictateur, mais on fait tourner les tourelles des AMX, et les élevages de poulets bretons exportent à qui mieux mieux. Dans ces conditions, pas facile de résister au sourire de Saddam, n’est-ce pas ?

Puis c’est 1991 et la guerre du Golfe. Je saute l’épisode, vous connaissez…

Je m’attarde toutefois sur un fait intéressant et peu connu du grand public : en juillet 1990 a lieu la signature d'un accord sur le rééchelonnement de la dette irakienne. Quelques semaines avant l'invasion du Koweït par Saddam Hussein, le despote obtient qu’on lui remette les compteurs à zéro !

Malheureusement pour lui, Saddam perd la bataille du désert. La « campagne d’annexion de la province du Koweït, partie indivisible du Grand Irak » se solde en fin de compte par un échec cuisant.

La dette extérieure de 104 milliards de Dollars « effacée » avant la guerre est remplacée par une nouvelle ardoise de 95 milliards envers le Koweït, auxquels s’ajoutent 66 milliards envers les institutions et particuliers victimes de l’agression des Babyloniens. On comprend alors mieux pourquoi Saddam a adressé la semaine écoulée ses « excuses » au Koweït, et pourquoi le Koweït les a refusées...

11 ans plus tard, l'Irak a accumulé une dette extérieure de 161 milliards de Dollars qu’il n’a pas servie depuis guerre du Golfe.

La France n’a semble-t-il toujours pas compris la nature du commerce avec les despotes, puisqu’elle plaide sans relâche pour la levée de l'embargo sur le pétrole irakien (à moins qu’elle ne nourrisse le fol espoir de se refaire sur ces ventes d’or noir) !

La France qui, quel que soit le résultat de la crise actuelle – que Saddam reste en place ou qu’il soit renversé -, va s’employer à affirmer son indépendance vis-à-vis des Etats-Unis, en entretenant ainsi ses liens privilégiés avec les pays arabes.

Les ministères de l’Industrie, des Affaires étrangères, du Développement Durable, préparent déjà « l’après embargo ». Les Français (qui s’octroyaient presque 15 % du marché avant la crise), espèrent bien ainsi damer le pion aux Allemands, Autrichiens, Suisses, Japonais, qui s’alignent déjà sur les rangs, et comptent, à la faveur des événements qui se préparent, supplanter les fournisseurs traditionnels de l’Irak, que sont les Chinois, Russes, Hongrois, Italiens, Espagnols,Ukrainiens, Bulgares, Serbes, et Indiens.

A Paris, on n’oublie pas l’exemple des adversaires d’hier devenus partenaires commerciaux d’aujourd’hui, comme la Jordanie, l’Egypte, mais aussi la Syrie avec laquelle on a justement signé des accords de libre-échange.

Fort des 4 milliards de Dollars qu’il a obtenus lors de la conférence « Liban II » à Paris, Hariri ne veut pas non plus être en reste et envisage de se relancer de plus belle dans la course au business. Le système ressemble à s’y méprendre au don des poulets bretons en 85. Beyrouth achète des infrastructures qu’elle n’a pas les moyens de s’offrir, sur la base de prêts garantis par des institutions européennes. Le Liban s’enfonce sur ce modèle dans une dette monumentale – il paraît que chaque bébé libanais naît avec une dette de 30.000 Dollars sur son couffin – qu’il ne pourra jamais rembourser. Liban II va ainsi permettre à Hariri et à ses partenaires – dont les patrons de TF1 – de continuer à s’enrichir extraordinairement aux dépends d’un pays otage de la Syrie et de ses citoyens, condamnés ainsi à crever la dalle !

En Irak, ce sont les cadres et la main d’œuvre qualifiée qui font cruellement défaut, plaçant le régime dans une dynamique de fuite en avant. Que choisir : la guerre ou le départ (Saddam Hussein a dores et déjà pris des contacts en vue d’un exil définitif pour lui et sa famille) ?

On connaît les résultats brouillardeux des fins de dictatures, comme en Iran après la révolution de Khomeiny ou en Roumanie après l’exécution de Ceausescu. Aussi, le « plan Bush » est loin d’être aussi absurde que certains s’offrent à le prétendre.

L'expulsion de Saddam Hussein fournirait une excellente occasion aux Irakiens de rebâtir leur économie. L'ouverture des marchés et la privatisation du secteur pétrolier en seraient les moteurs. Mais sans la présence d’une force de maintien de l’ordre efficace et la mise en place d’un nouveau plan Marshall, le pays plongerait inévitablement dans le chaos.

Au grand Casino « France », on reste confiant, c’est une affaire d’expérience. À tous les coups on gagne : qu’on joue avec l’argent des clients ou avec celui de ses propres contribuables, qu’on vende des poulets ou des bombes atomiques, on est certain d’empocher la mise maximale !