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Zlabia : Friandise formee par un outil rudimentaire et la main magique du ftairi, puis frite et trempee dans le miel. 

 

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30/06/03

LA KAHENA

Le nom Kahena est une deformation du nom Cohena C'est ce que l'on ma dit quand j'etais jeune


Shmuel Ancri


30/06/03

RECETTES DE CCUISINE

bonjour je cherche differente recette de couscous pour faire une comparaison avec celui que je sais faire
merci de me renseigne
a bientot

HENRI 


30/06/03

CELEBRITES

je vous ai fait part de l'absence sur votre liste de "célèbrités" des noms de 2 cousins: BENHAMOU Claude-Albert Professeur de médecine à Paris originaire d'Oran et BENHAMOU Eric originaire deTlemcen ,installé aux USA PDG de PALM Pouvez-vous les inscrire sur votre liste?Merci

Jean Pierre


30/06/03

J'ai mis en ligne sur le site
http://www.geneaweb.org/jraouate 
une amorce de base généalogique Constantinoise.
Si vous avez des informations permettant de la préciser, de la corriger et bien sûr de l'étoffer ou si vous souhaitez que je vous adresse l'intégralité de cette base perso, contactez moi.
Cordialement votre


30/06/03

Bonjour à toutes et à tous. Je suis Français d'origine Algérienne et musulman. Les juifs d'Afrique du Nord ont beaucoup d'amis et je suis l'un d'eux.Quoi que l'on fasse notre destinée est liée car nous sommes cousins et Sémites tous les deux et c'est pourquoi tout ce qui touche à votre ethnie ou à votre religion me concerne aussi.Là où le racisme et l'antisémitisme nait nous sommes en prmière ligne. Quand vous avez quitté l'Algérie ,ce pays a perdu une partie de son AME,et je suis toujours frappé par la ferveur que vous portez à ce pays que je connais très mal car etant partie en 1954 à l'age de 1 an. mes amitiés


30/06/03

Bonjour,

Pour ceux qui n’ont pas encore compris…voici, pour la première fois un article de presse d’un grand journal, reprenant le thème et posant certains problèmes. Bonne lecture

Salutations amicales

Stan 


Berbères, libres et fiers de l'être

PAR BELKACEM LOUNES *
[27 juin 2003]

Qui sont les Berbères ? Les Berbères constituent le peuple autochtone d'Afrique du Nord, présent depuis la plus haute Antiquité dans cette région. Aujourd'hui il subsiste une trentaine de millions de berbérophones occupant des territoires plus ou moins vastes, répartis sur une dizaine de pays : Maroc (Rif, Atlas, Sous), Algérie (Kabylie, Aurès, Chenoua, M'zab), Tunisie, Libye, Egypte (oasis de Siwa), Canaries, et le pays touareg découpé par les frontières de six Etats (Niger, Mali, Mauritanie, Burkina Faso, Libye, Algérie). Alors que l'appellation «berbère» qui vient du latin barbarus, est le nom donné par les Romains à tous les peuples qui leur étaient étrangers, les Berbères se désignent eux-mêmes par le terme d'«amazigh» qui signifie «homme libre».

Du VIIIe siècle avant J.-C. jusqu'au XIXe siècle de l'ère chrétienne, les Berbères ont eu à faire face à de nombreuses invasions (phénicienne, romaine, vandale, byzantine, arabo-musulmane, ottomane, française) qui se sont toutes déroulées dans la violence pour imposer la domination des conquérants.

Peuple méditerranéen et saharien, les Berbères constituent le substrat ethnique et socioculturel de l'Afrique du Nord auquel sont venues s'ajouter les composantes juive, européenne et arabe. Réputés pour leur hospitalité légendaire, les Berbères n'ont jamais livré bataille en agresseurs mais toujours en résistants défendant farouchement leur liberté et refusant de vivre sous domination. De tous les peuplements étrangers venus s'établir sur les terres berbères, seuls les juifs ont su vivre en harmonie avec les populations autochtones, partageant en partie leur mode de vie, parlant leur langue et les influençant en retour.

Sur le plan religieux, les Berbères ont toujours été pluriels : après avoir connu l'animisme et le paganisme, ils ont subi l'influence du judaïsme, du christianisme et de l'islam. Mais ces religions n'ont pas été adoptées de manière orthodoxe, elles ont toujours été adaptées à leurs coutumes et à leur mode de vie propres. Ainsi, le droit berbère, dit «azref», contrairement au droit musulman, est tout à fait indépendant de la sphère religieuse. Le Berbère est donc par essence laïque et égalitaire.

Après avoir consenti le plus lourd des sacrifices dans la lutte pour la décolonisation de l'Afrique du Nord, les Berbères se retrouvent aujourd'hui à vivre une situation inédite de «colonisation interne» qui n'a rien à envier à la colonisation d'hier. Par la négation de leur existence, par la falsification de leur histoire, par les interdits qui frappent leur expression culturelle, par la persécution implacable pouvant aller jusqu'au crime, comme c'est le cas en Kabylie, les Etats nord-africains mènent une politique ethnocidaire qui vise à effacer toute trace de berbérité encore vivante. A l'évidence, cette politique découle du rattachement artificiel de ces pays au monde arabe moyen oriental et son corollaire : une seule langue, l'arabe, et une seule religion, l'islam. Conformément à ces options fondamentales, les gouvernements de ces pays mettent un zèle particulier à poursuivre le processus d'arabisation entamé il y a plus de quatorze siècles, sous couvert de l'islam. Et l'amalgame entre la langue arabe érigée en langue «sacrée» du Coran et la religion musulmane est sciemment entretenu afin de culpabiliser les Berbères musulmans et de les empêcher de s'opposer à l'arabisation, véhiculée par l'islam. Au besoin, les mosquées, l'école, les médias publics et la presse panarabiste s'emploient à cultiver le mépris et la haine des Berbères réfractaires à l'idéologie dominante, les présentant comme des sauvages bons à «civiliser», c'est-à-dire à arabiser ou des antimusulmans, des mécréants qu'il est légitime de combattre.

Au fur et à mesure qu'ils prennent conscience de ces stratagèmes, les Berbères reprennent confiance et s'organisent dans tous les pays où ils vivent, pour défendre leur droit à l'existence en tant qu'identité, en tant que peuple.

L'immigration berbère en France est l'une des plus anciennes puisqu'elle remonte à la fin du XIXe siècle. Elle répondait à la fois aux besoins de mobilisation des soldats en période de guerre (Première et Seconde Guerres mondiales) et au déficit de main-d'oeuvre, notamment dans les secteurs de l'industrie et du BTP. On estime actuellement l'immigration berbère à environ deux millions d'individus, contribuant en toute discrétion à l'épanouissement économique, scientifique, artistique et sportif de la France. Il est utile de rappeler par exemple que Edith Piaf, Mouloudji, Daniel Prévost, Isabelle Adjani, Zidane et bien d'autres personnalités de tous horizons, sont le fruit de cet apport berbère.

Les Berbères ont naturellement retrouvé dans les fondements de la société française, les valeurs essentielles sur lesquelles repose leur propre société : démocratie, liberté, laïcité, équité. Ils n'ont donc pas eu de difficultés majeures à adhérer au modèle républicain d'intégration, tel qu'il leur a été proposé.

Aujourd'hui tout le monde reconnaît que ce modèle a échoué, ou du moins connaît une grave crise dont les symptômes sont le malaise social qui sévit dans les banlieues et la montée du communautarisme que d'aucuns affirment même qu'il est encouragé, au moins par laxisme, par ceux-là mêmes qui sont censés le combattre. Ainsi, les Français d'origine non européenne ne sont plus considérés comme des «citoyens français» comme l'exigerait le principe de l'intégration républicaine, mais plutôt désignés par rapport à leurs origines réelles ou supposées. Les citoyens français d'origine berbère découvrent alors avec étonnement qu'ils sont «arabes» ou d'«origine musulmane», ce qui est à la fois insensé, stigmatisant, ignorant de la réalité berbère, à moins que ce ne soit par volonté de l'occulter ?

La France va plus loin dans l'abandon de ses valeurs modernes, notamment la laïcité, lorsque, prétendant organiser l'islam de France, elle ne fait en réalité qu'encourager l'islam en France. Elle l'a fait en créant le Conseil national du culte musulman qui ne représente que ses membres et ses imams dont la plupart sont aux ordres de puissances étrangères. Tout se passe par ailleurs comme si la France ne faisait que relayer ici les politiques d'arabisation en oeuvre dans les pays d'origine.

En tout état de cause, la très grande majorité des deux millions de Berbères de France ne se définit pas par rapport à une éventuelle religion, qui ne serait d'ailleurs pas forcément l'islam, mais par rapport à leur identité propre. De même, ils ne se reconnaissent nullement ni dans cette politique française à courte vue, ni dans ces organisations artificielles abusivement qualifiées de «représentatives» d'une «communauté musulmane» inventée pour la circonstance et dont les chiffres sont exagérément gonflés.

C'est dans ce contexte de grave crise des valeurs républicaines que les Berbères de France sont amenés à s'interroger sur leur place dans la société française, sur leurs revendications d'être considérés comme des citoyens à part entière et sur leurs valeurs identitaires et culturelles qu'ils souhaitent mettre au service de la République des Liberté, Egalité, Fraternité, Laïcité et des Droits de la personne.

* Président du Congrès mondial Amazigh.


30/06/03

א.א
שם משפחתי אלנקווה אינו מופיע
שלום רב

ELNEKAVE@zim.co.il 


30/06/03

TERREUR ISLAMIQUE

Visitez ce site !

http://www.islamicterror.fr.fm 

Nechek


30/06/03

Zola, réveille-toi, ils sont à nouveau devenus fous ! (info # 012306/3) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



L’objectif de Yasser Arafat, lorsqu’il a déclenché la seconde Intifada, et nous l’avons maintes fois illustré, consistait à obtenir l’envoi d’une force internationale d’interposition entre les territoires de l’Autorité palestinienne et l’Etat d’Israël.



C’est ce que nous avons appelé la "stratégie du porte-avions". Cela consiste, je le rappelle, à obtenir sans passer par un règlement politique d’aucune sorte, un espace géographique délimité de-facto, protégé de l’armée israélienne par un contingent d’intervention étranger.



Lors, cette protection est inutile. Comme notre correspondant palestinien Sami el-Soudi a eu l’occasion de le démontrer, il suffirait, en tous temps, que l’Autorité palestinienne empêche les actes de terrorisme provenant de son territoire, pour que les Israéliens n’aient pas à le réinvestir sporadiquement. Dans les faits, les événements ont démontré que le vieux leader n’a, au contraire, de cesse que d’obliger les Israéliens à conserver le contrôle de ces régions, en instrumentant d’incessants assassinats collectifs et autres provocations violentes.



La guerre d’Arafat est à caractère offensif, il n’est que de regarder les émissions de la télévision palestinienne pour s’en persuader. L’objectif du locataire de la Moukata consistant à ne jamais laisser s’éteindre la flamme de la brutalité, jusqu’au moment où, espère-t-il encore, à la faveur d’une bavure militaire ou d’une catastrophe humaines qu’il aura provoquées, il obtiendrait finalement l’envoi de la force d’intervention, sujet de tous se espoirs.



Certes, le déroulement des événements ne semble pas aller dans la direction qu’il désire, surtout après l’introduction massive du plan de la Road Map par les Américains, mais, comme il se plaît à le répéter à ses proches, il mise sur la patience, sur la persévérance des souffrances qu’il inflige aux deux populations de la région, ainsi que sur une phalange d’alliés fidèles.



C’est que, la coexistence pacifique avec ses voisins d’ouest n’a jamais rien eu à voir avec sa stratégie. Du jour où il obtiendrait l’interposition d’une armée de soldats occidentaux, Arafat a l’intention de poursuivre de plus belle l’agression d’Israël. Oui, mais dès cette intervention étrangère, Tsahal ne pourrait plus intervenir dans la bande de Gaza pour y limiter les tirs de Kassam ; elle ne pourrait plus s’en venir détruire les laboratoires d’armes qui bourgeonnent à Jénine et à Kalkilya et elle ne pourrait plus, non plus, procéder à l’éradication des chefs des organisations mondialo-hégémonistes islamiques, avant que ceux-ci n’envoient leurs hommes-bombes exploser dans les rues d’Israël.



L’impunité, quoi ! Un havre protégé – le porte-avions – dans lequel, à l’abri des fusils et des tanks européens, à cinq kilomètres de Tel Aviv, les Palestiniens opposés à la solution des deux Etats pour deux peuples, pourraient mener impunément leurs attaques contre l’Etat hébreu et se doter des moyens nécessaires afin de, le moment conjoncturel venu, se lancer dans une guerre totale contre leurs adversaires. Et cette guerre, il est indispensable ne pas se leurrer à son sujet, serait une guerre visant à l’anéantissement des Israéliens et de leur représentation politique.



Le laps de temps se situant entre la mise à l’eau du porte-avions – date correspondant à l’installation de la force d’interposition – et le moment où les Palestiniens se seraient dotés des moyens et des alliances nécessaires à engager la guerre totale, n’a aucune importance pour le chef palestinien. Comme l’a rapporté d’une de ses discussions avec Arafat m. Abdurrahman Wahid, l’ancien Président de l’Indonésie, "la phase intermédiaire pourra même durer cent cinquante ans, à la fin, nous parviendrons à jeter les Juifs à la mer !"



Ce qu’il y a de politiquement significatif, dans la stratégie du porte-avions, c’est que, tout le long de son cours, l’entité palestinienne n’aurait jamais eu à reconnaître formellement le droit d’Israël à exister ni à s’engager sur un acte de fin de belligérance avec elle ni, et ça n’est pas moins important, à accepter un Etat issu du compromis. Une telle entité, sous le prétexte fallacieux de devoir être défendue par des tiers, contre une menace qu’elle aura créée et entretenue de toutes pièces, au prix du sacrifice de ce qu’Arafat appelle les martyrs, aurait ainsi abusé de la sensibilité du monde, afin de se mettre en situation de perpétrer un génocide.



Cela dit, sur la base de la démonstration stratégique du porte-avions de la Ména, difficilement contestable, recoupée exactement avec les différents actes entrepris par Arafat depuis le début des négociations d’Oslo et jusqu’à nos jours, la quasi-totalité des gouvernements occidentaux a découvert le subterfuge barbare d’Arafat et comprend bien de quoi il en retourne lorsque, par exemple, ce dernier qualifie Mahmoud Abbas de "traître à la cause palestinienne".



Reste une phalange, comme je l’ai écrit plus haut. Elle est composée de certains pays arabes et du dirigeant suprême d’un Etat occidental, la France. Le soutien anachronique, souvent grotesque, jamais inspiré – malgré les apparences – par un souci de pacification de m. Jacques Chirac et de ses ministres des Affaires Etrangères, au porte-avions de Yasser Arafat est là pour persuader les sceptiques et pour confondre ses instrumentistes.



Comme il avait raison, Jean-Marie Colombani, de dénoncer l’option parenthésiste du chef de l’Etat français et comme il a tort, de soutenir, depuis, dans son propre journal, ceux qui s’affairent à la faire avancer !



Pourtant, pourtant comment expliquer autrement que par le désir de voir disparaître l’Etat juif, les initiatives répétées de la diplomatie française de mettre à l’eau le porte-avions d’Arafat ? Le 3 avril 2002, d’abord, comme le mentionne Salomon Pardess dans sa "Pinte pour la route (4)" [lire], lorsque Hubert Védrine proposa l’envoi d’une force d’intervention européenne au conseil des ministres des AE de l’Union du même nom et qu’il s’y fit rabrouer sans ménagement.



Et la semaine dernière, le nouveau locataire du Quai d’Orsay, faisant fi du processus de la Road Map en cours et des changements qui sont intervenus dans l’identification internationale du rôle de boutefeu sempiternel tenu par Arafat, remettait l’ouvrage sur le métier. Pour se faire rabrouer encore plus fermement, par George Papandréou, qui a eu la clairvoyance de rétorquer à de Villepin "qu’il n’existe pas de nécessité évidente à l’envoi d’une force d’interposition européenne". Le Britannique Straw réagissait plus violemment encore et Javier Solana rappelait au Français la nécessité de progresser sur la Carte routière.



C’est dans le mépris affiché par Chirac et de Villepin pour l’évidence d’être éconduits et de proposer quand même l’envoi d’une force européenne d’interposition, que je vois l’affirmation du parenthèsisme. Cela fait belle lurette que ces deux-là sont sortis des limites de la politique sensée, pour embrasser les excès de l’activisme de cœur. Parce qu’un grand pays ne soumettra pas, répétitivement, d’initiative majeure à ses alliés européens, lorsqu’il sait qu’il n’a aucune chance pour qu’elle soit acceptée. Parce que le fait de pousser, d’occurrence en occurrence, à un risque de confrontation armé entre l’UE et une démocratie comme Israël, plus encore que de grotesque et de dangereux, a quelque chose de la démence.



La "parenthèse", pour ceux qui ne le savent pas encore, c’est cette doctrine de caniveaux, qui veut que l’existence de l’Etat d’Israël soit un phénomène passager, une erreur de l’histoire, en quelque sorte, qu’on devrait réparer en hâtant son éradication.



C’est aussi une doctrine de fous et de racistes paroxystiques, puisque en agissant pour la mise à l’eau du porte-avions d’Arafat, par exemple, ils prennent consciemment le risque inouï d’exposer à nouveau la vie de six millions de Juifs.



Et comme tous les fanatismes mènent à se découvrir tel qu’en soi-même, on retrouve la rage des deux Français dans divers incidents significatifs. On quitte aussi facilement les terrains labourés des bonnes traditions, lorsqu’on soutient l’insoutenable de façon emportée, ainsi de Villepin, qui a perdu ses nerfs sur le Président du Conseil italien, à propos de son récent voyage au Proche Orient.



"Il n’a pas respecté la ligne européenne" s’est exclamé le ministre français des AE, accusant Berlusconi de "s’être éloigné de l’équidistance européenne traditionnelle entre Israéliens et Palestiniens". La raison avancée de cette colère : le Premier ministre italien a été reçu par le gouvernement israélien mais ni par Arafat ni par Mahmoud Abbas (en fait c’est m. Abbas qui a refusé de rencontrer Silvio Berlusconi, après que ce dernier ait catégoriquement écarté l’idée de rencontrer Yasser Arafat. De Villepin le savait très bien, c’était pour lui une occasion indirecte de faire pression sur les prochains ministres européens à se rendre dans la région, afin de les contraindre à rencontrer le Vieux-de-la-Moukata, à affaiblir Mahmoud Abbas et à mettre les bâtons dans les rayons de la Carte routière américaine).



Mais Berlusconi n’est pas homme à se laisser mener par le bout du nez, aussi a-t-il rétorqué par un très sec : "La France a perdu une occasion de rester muette" Et d’ajouter à l’endroit de de Villepin le conseil "de ne pas se mêler des affaires qui ne le regardent pas".



Cet échange craquant, en marge de la nouvelle initiative mort-née de la France au niveau européen, vient faire montre de l’irritation grossissante des partenaires de l’UE envers le Président français. Il faut dire que l’Europe n’a aucune raison racontable de maintenir Yasser Arafat en respiration artificielle. Ces partenaires, qui comprennent, eux, que le raïs palestinien a des rêves dangereux et qui ne sont nullement assez biaisés pour leur faire la courte échelle. 


30/06/03

Monsieur ,

Je recherche des informations concernant une compagnie Maritime qui semblait être basée à Oran dont l'un des navires L'Oranais c'est perdu au large de Cherbourg le 02/02/1895 alors qu'il était parti de Philippeville pour Rouen.

Je travaille en association avec le musée Maritime de Tatihou sur un repertoire des naufrages dans le Cotentin je n'arrive pas à obtenir de documents sur ce navire et sa compagnie.
je recherche en particulier une photo du port de phillipeville et du navire si elle existe.
Vous remerciant par avance de l'interet que vous porterez à mon courrier, recevez ,Monsieur , l'expression de mes sentiments les meilleurs.

Gérard LEONARD


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