Welcome      
               

 

 ZLABIA

Zlabia : Friandise formee par un outil rudimentaire et la main magique du ftairi, puis frite et trempee dans le miel. 

 

  FORUM 

    Envois
    Pied-noir

  CHATROOMS

  Chatroom Zlabia

  Next Generation

  Cafe des Dattes

  Cafe d'e-Souks

  e-SOUKS 

  Business Contacts

  Galerie marchande
  Entree d'e-Souks

 RENCONTRES 

  Jrencontre

   Annonces
  Samsara harissa

Cherchez Zlabia

 

FORUM

   

| Consultez | Postez

DISCUSSION

Attention : Votre entree ne sera postee qu'a la prochaine mise a jour.


03/02/03


03/02/03

ENVOYER VOS CONDOLEANCES A LA FAMILLE RAMON


Vous pouvez envoyer vos condoleances ou tout autre message a l'adresse ci-dessous.

ilanfamily@mail.idf.il

Les messages seront transmis a la famille Ramon


Unite du Porte-Parole de Tsahal.


03/02/03

Bonjour a tous, je desire prendre contact avec les algeriens vivant en france, originaire de nedroma. je souhaite renouer avec les amis de ma familles qui sont partis, c'est vraiment triste. si vous connaissez des juifs de nedroma ou alentour contactez moi be slama!

Fawzi


03/02/03

Sujet: La musique arabo andalouse

Soop: Nathan Yafil (Edmond) est né le 26 janvier 1974 (et non en 1877) à Alger-Bab el Oued. DcD en Octobre 1928. Il est considéré comme un des grands M'aâllem de la Musique classique. (En Algérie les Maîtres de musique arabes sont dits "Cheiks" et les Maîtres de musique juifs sont dits "M'aâllem"). Il faut réhabiliter Yafil pour l'œuvre accomplie.Il a sauvegardé le patrimoine musical andalou en Algérie. Chercheur, propagateur, transripteur, éditeur (c'est le premier musicien juif d'Algérie à être inscrit à la SACEM), il doit être reconnu à sa juste place. Je recherche des infos sur Yafil; l'homme, sa vie et non le musicien (j'ai). Merci d'avance.

jeanpierrebadia@aol.com 


03/02/03

Sujet: enrico

bonne émission de michel drucker qui nous a fait rencontrer enrico brvo il pourrait occuper l'écran 24 h on ne s en lasserait pas une algérienne comme lui

ctoujoursmoi2002@yahoo.fr 


03/02/03


Au-delà d’Hans Blix ! (info # 013101/3)

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Ilan Tsadik, encore convalescent de son récent voyage dans l’espace, a fait hier soir une brève – mais remarquée – irruption dans le parlement informel qui réunissait à Métula quelques-uns des analystes stratégiques les plus écoutés d’Israël. Faisant mine de récupérer un dossier qu’il aurait oublié sur sa table de travail, il lança subrepticement : "Vous les analystes, vous êtes comme les vaches !"



Les vaches ?



Requis de nous fournir des explications plus interprétables, Ilan affirma : "Comme les vaches, vous gardez la plupart du temps les quatre pieds parterre" et poursuivit "vous essayez de transformer les prairies, impropres à la digestions humaine, en lait, en fromage, en beurre et en crème !"



Sous nos rires, qui le laissèrent indifférent, il quitta indolemment notre espace de réunion, oubliant à nouveau le paquet de feuilles qu’il était venu chercher…



Nous restions "entre ruminants", considérant globalement comme un compliment l’appréciation de notre jeune collaborateur.



Les vaches, celles qui font bien leur travail, ont cela de particulier qu’elles sont insensibles aux tumultes politiques ainsi qu’aux intentions particulières des êtres humains et de leurs leaders. Plus encore, elles en font abstraction dans leur œuvre de digestion, pour ne retenir que les éléments indispensables au décryptage des événements à venir.



Aussi, est-ce en bovins – en quelque sorte – que nous avons interprété la situation actualisée prévalant dans la crise irakienne, évitant de donner aux impondérables passions préludant les conflits armés et autres interférences politicardes, plus d’importance qu’elles n’en ont vraiment. Et de constater tout d’abord, que l’objectif pour lequel les inspecteurs de l’ONU ont été envoyés en Irak n’a pas été atteint !



On n’a pas dépêché deux cents cinquante spécialistes en armement à Bagdad pour faire un rapport philosophique au conseil de sécurité. Allons ! Si les inspecteurs ratissent Babylone, c’est pour y trouver des entrepôts d’armes non conventionnelles, la documentation indispensable qui accompagne leur développement et leur utilisation, ainsi que l’infrastructure pesante qu’il faut pour les utiliser. Et si les inspecteurs ne parviennent pas à mettre la main sur ces éléments tangibles, ils sont parfaitement équipés pour en relever les traces.



Oui, parce que la fabrication et l’entreposage d’armes biologiques – à fortiori de moyens nucléaires – ont la particularité de laisser des traces difficilement délébiles dans le sol et sur toutes les infrastructures avec lesquelles ils ont été en contact. Lorsque l’on sait que les bâtiments susceptibles de servir à la fabrication et à l’entreposage de ce genre d’objets ont, dans leur quasi-totalité, été identifiés par les satellites américains et leurs avions espions, durant de longues années ; lorsqu’on sait que les plus suspects de ces bâtiments ont été visités, d’abord, de fonds en combles, par les inspecteurs et qu’ils n’y ont trouvé ni les matériels qu’ils cherchaient, ni les traces qu’ils auraient du laisser, en notre qualité d’analystes stratégiques ayant les quatre fers sur terre, cela nous amène à dresser un certain nombre de conclusions. Et ces conclusions ont l’avantage sur celles d’Hans Blix d’être définitives et partant, de faire l’économie de spéculations additionnelles.



L’Irak ne dispose pas de quantités massives d’armement non conventionnel, comme d’aucuns – y compris en Israël – en étaient persuadés avant l’envoi des inspecteurs. A ce sujet, il est encore nécessaire de comprendre, que l’emploi d’un armement de ce type implique l’existence d’une énorme logistique. Ladite logistique supposant le recours à une activité industrielle vivide, appelée à fournir les pièces indispensables à la construction de telles armes, à leur stockage, à les rendre opérationnelles, à leur transport et à leur entretien. A propos de l’entreposage et de l’entretien de moyens bactériologiques, chimiques, voire nucléaires, les experts en stratégie soulignent que les matériaux en question sont extrêmement délicats à traiter et que, faute d’un environnement adéquat, ils sont largement plus menaçants pour ceux qui les fourbissent que pour leurs éventuelles victimes. Lors, les éléments indispensables à ces fonctions sont volumineux, au point qu’ils requièrent la mise en œuvre de plans industriels à l’échelle d’un pays, et qu’ils ne sauraient avoir entièrement échappé à la vigilance des limiers de Hans Blix.



Les experts de ces types d’équipements – nombre d’entre eux lisent régulièrement la Ména en Israël, en France et aux Etats-Unis - se comptent par dizaines de milliers et ils savent exactement de quoi il en retourne. Il est impossible, inimaginable, de dissimuler l’infrastructure, les produits et le personnel nécessaire à la fabrication, à l’entretient et à l’opération de ces armes, dès lors qu’elles s’inscrivent dans une option utile conséquente dans un arsenal militaire.



Saddam Hussein ne dispose pas d’une telle option, et c’est là l’enseignement principal et définitif que nous déduisons de la mission de contrôle des spécialistes de l’ONU.



Est-ce à dire que l’Irak ne détient aucun moyen de destruction non conventionnel ? Certes non ! Mais cela signifie que le dictateur de Bagdad est devenu un bricoleur de la destruction massive, un artisan de la mort en gros, à l’inverse d’un industriel.



Les lacunes béantes dans la documentation qu’il a fournie à l’ONU, les vecteurs de charges chimiques vides, qui ont été trouvés en petit nombre par les inspecteurs, ainsi que les protocoles mis à jour au domicile de certains scientifiques de Saddam Hussein, suffisent à établir que l’Irak détient et entretient quelques cellules discrètes, quelques commandos pluridisciplinaires, capables de faire "un certain usage" de "certaines armes" de destruction massive dont il dispose en quantités restreintes. C’est également ce qui ressort du refus de la dictature irakienne de permettre l’interrogatoire de ses scientifiques en territoire neutre, hors de la présence de ses sbires. Ces interrogatoires, s’ils avaient lieu, permettraient assurément de connaître de l’état de l’arsenal non conventionnel restant à disposition de Saddam Hussein. De plus, si la connaissance de cet état est cruciale à la veille d’un conflit annoncé, la communauté internationale est fortement intéressée par le détail des projets antérieurs du régime de Bagdad. On est curieux de savoir jusqu’où l’Irak était-elle parvenue dans ses développements précédents, surtout en ce qui concerne ses projets nucléaires. On est plus que curieux de savoir quel emploi a été fait par les savants de Hussein de la technologie qui lui avait été fournie par la France, à la demande explicite de l’actuel président Jacques Chirac. Ces indications permettraient d’établir le degré de dangerosité – mesuré en termes d’années jusqu’à la réalisation de La bombe – qu’avaient atteint ces savants. Ces indications étant primordiales, tant il est vrai que le matériel humain et le savoir faire qu’il a acquis sont, de nos jours de grande prolifération de carburants atomiques, au moins aussi importants que l’aspect matériel des choses.



Au vu de ce qui précède, nous sommes en mesure d’affirmer que le régime irakien, sous divers prétextes, ne permettra pas l’interrogatoire des scientifiques ayant participé à ses projets de développement d’armements non conventionnels. En aucun cas !



C’est aussi le lieu de relever la qualité des services spéciaux et de la diplomatie irakiens. Dès le soir du 11 septembre 2001, nous annoncions que l’Irak avait activement participé aux attaques terroristes en Amérique. Depuis plusieurs mois, la CIA et le FBI sont parvenus à des conclusions semblables. Les centrales américaines ont atteint ces conclusions par le truchement de recoupements logiques (à l’instar des nôtres), par des bribes d’informations, accumulées au cours d’observations aériennes et par l’interrogatoire de soldats, de scientifiques et de hauts fonctionnaires ayant fait défection au régime de Saddam Hussein. Le bon fonctionnement des services secrets de Bagdad, son cloisonnement étanche surtout, ont empêché leurs homologues de Washington d’accumuler des preuves irréfutables quant à la participation de l’Irak aux attentats de New York et du Pentagone, tout autant que des indications utilisables, quant au nombre, à la sorte et à l’emplacement des moyens de destruction massive restant en Babylonie.



L’absence d’une profusion de moyens de destruction massive, en Irak, justifie-t-elle qu’on s’abstint de détruire le régime de Saddam Hussein ? La France, objet, hier, d’un cinglant désaveu public de sa politique d’opposition activiste au Président Bush, de la part des chefs de huit gouvernements européens, aurait-elle raison dans son obstination ?



Pour l’Administration U.S, de même que pour une majorité d’Etats européens, la réponse à cette question se fait par la négative et par les points de discernements suivants :



A. Les armes non conventionnelles ont ceci de particulier, qu’elles représentent une menace insupportable, indépendamment du nombre qui les constitue. Ainsi, des ogives remplies d’agents chimiques – du type découvert par les inspecteurs - pourraient coûter la vie à des milliers de soldats américains lors d’un conflit. Assemblées sur un missile balistique Scudd, elles peuvent tuer une multitude de civils à Tel Aviv, à moins que ce ne soit à Aman ou à Koweït City. Du point de vue des partisans de l’usage de la force contre Saddam Hussein, ces périls sont largement intolérables, et la considération de la portée tactique des armes à disposition du tyran est de moindre importance.

B. Le fait que Saddam Hussein continue à "ne pas collaborer" avec les représentants de l’ONU (même après les promesses faites à Hans Blix par les officiels irakiens) et qu’il tente de soustraire de leur attention des moyens militaires et des informations, constitue l’évidence de la dangerosité du personnage. Les pro interventionnistes sont ainsi persuadés, que si le dictateur n’est pas éloigné du pouvoir, il n’aura de cesse de réactiver ses programmes de dotation en armes non conventionnelles et ce, aussitôt que la pression internationale se sera un peu distendue. Pour les USA et leurs alliés, il est, aussi inconcevable de conserver indéfiniment une armada sur le pied de guerre, autant qu’il n’est pas envisageable de faire subir à la population irakienne les aléas d’un blocus, dû uniquement à la bellicosité de leur tourmenteur.

C. Le régime de Saddam Hussein est un incubateur instrumentalisé d’activités terroristes. Des camps – notamment celui de Park Salam, identifié par les coalisés – fournissent la main d’œuvre servant à la déstabilisation de la Jordanie, de Palestine, ainsi que des Etats de la péninsule arabique. Or les USA et leur président ont déclaré la guerre au terrorisme, qu’ils considèrent – après les évènements du 11 septembre – être la menace principale pesant sur leur pays.



D. A ces considérants de type sécuritaire direct s’ajoutent une interprétation de politique régionale : Aux yeux de Washington et de ses alliés, le Moyen Orient se trouve maintenu dans un cul de sac politique et le régime en place à Bagdad constitue un des piliers de cet immobilisme destructeur. Saddam Hussein fournit de l’argent aux organisations terroristes palestiniennes et surtout, un irremplaçable soutien logistique et idéologique, s’articulant sur la profession du jusqu’auboutisme. La théorie en vigueur, entre le Tigre et L’Euphrate, maintes fois répétée, c’est que la seule solution au conflit proche oriental passe par l’éradication physique de l’Etat d’Israël.



Pour George W. Bush et pour ses conseillers, le remplacement du dictateur par un régime démocratique-pro occidental permettra d’opposer un Axe du bien contre l’Axe du mal au Moyen Orient. De cette manière, les stratèges américains espèrent constituer une large barrière procédant de la Turquie, par l’Irak, la Jordanie et Israël, ceinture à laquelle seront associés les pays de la péninsule arabique, et, ultérieurement, le Liban. L’idée, sur les rives du Potomac, consiste à isoler les foyers d’extrémisme que sont l’Iran et la Syrie et à décourager les régimes qui seraient tentés par ce même extrémisme, qu’il soient d’obédience religieuse ou nationale, soit encore des deux à la fois.



Selon ces conseillers, après avoir fait une démonstration de force et de détermination en Irak, il suffira d’user d’arguments politiques, économiques et diplomatiques afin de ramener les Etats réfractaires à la raison. Washington entend ainsi amener la Syrie à une attitude constructive autour de la table de négociations avec Israël et à cesser l’occupation du Liban. Mais avant tout, la Maison Blanche entend donner suite au plan énoncé dans le déjà fameux discours du Président Bush, relativement à la solution du conflit israélo-palestinien. On admet, à Métula, que privés de bases arrières en Irak, poussés par l’Egypte à accepter un moratoire d’un an de leur Intifada, les Palestiniens n’auront plus que le choix de s’engager – très sérieusement cette fois – sur la voie de réformes fondamentales de leurs institutions, de leurs cadres et de leur fonctionnement. La voie existe, dans un Proche Orient débarrassé de Saddam Hussein, pour l’instauration d’une Pax Americana, basée sur l’acceptation du principe des "deux Etats pour deux nations" cher à Sari Nusseibeh à Abou Mazen et à Sami El-Soudi, vu que les électeurs israéliens ont – malgré le terrorisme perdurant – plébiscité à nouveau ce principe lors des élections de mardi dernier.



Hier, la Grande armée, aujourd’hui troupeau (de vaches), les analystes du parlement de Métula s’accordent pour penser, que le seul choix qui reste à Saddam Hussein, c’est celui de l’exil volontaire ou de la débâcle. C’est pour le lui faire comprendre, que les Etats arabes se sont lancés ce matin dans une nouvelle et intensive campagne de persuasion auprès de Saddam Hussein.



C’est, qu’à part la France, pour des motifs incompréhensibles et l’Allemagne, pour des raisons idéologique et historiques, la communauté des nations démocrates a compris, qu’avec Saddam Hussein, le monde évoluait à l’envers. A l’envers, vers plus de violence et de radicalisme national, para ethnique et religieux. Reste qu’en Allemagne, il existe quand même des médias intelligents qui mettent en doute le raisonnement de leur gouvernement…



Décidément, boudru d’bois, ça manque de vaches à Paris ! 



03/02/03

Plus du quart des Députés Européens demande une commission d'enquête parlementaire sur l'usage des fonds européens dans l'Autorité Palestinienne.


170 signataires:

Mardi 4 février au Parlement Européen à Bruxelles, après une conférence de presse à 11h00, Ilka Schroeder, François Zimeray, Willy De Clercq et d'autres députés de tous partis et de toutes nationalités déposeront à la Présidence du Parlement Européen une résolution signée par plus de 170 députés demandant la mise en place d'une commission d'enquête sur le financement par l'Union Européenne de l'Autorité Palestinienne.
Depuis plusieurs mois, les allégations de corruption au sein de l'Autorité palestinienne se sont faites plus précises. La preuve a été rapportée que l'enseignement financé par l'Union Européenne dispense une pédagogie de la haine et incite au martyre. L'utilisation d'une partie du budget de l'Autorité palestinienne pour la récompense des familles d'attentats suicides a été un élément déterminant pour engager les parlementaires à s'associer dans cette démarche. La commission d'enquête parlementaire a pour but de vérifier l'exactitude de ces informations et d'en tirer les conséquences.

Pour "un plan Marshall Européen" dans les territoires palestiniens :

"Nous ne sommes pas hostiles au principe du financement des palestiniens par l'Union Européenne, au contraire " déclare François Zimeray. "Je serais même prêt à augmenter massivement le soutien européen", à condition que cette aide aille vraiment à la population, qu'elle soit orientée dans le sens du développement, de l'éducation et du rapprochement entre les peuples. Ce n'est pas le cas.
Au mépris de ses propres valeurs, l'Europe a trop longtemps fermé les yeux sur la corruption, le détournement de l'aide éducative à des fins de propagande comme sur le terrorisme. L'indulgence aveugle de l'Union Européenne est directement responsable de la mort de civils dans les deux camps ; elle a infantilisé l'Autorité Palestinienne, radicalisé les positions et fait exploser le camp de la paix des deux côtés.

Un combat acharné sur la "scène politique la plus dure du monde pour Israël"*:

Depuis quatre mois, un petit groupe de députés conduit par Ilka Schröder et François Zimeray s'acharne à arracher une à une les signatures des députés malgré les interventions, les pressions et l'hostilité de certains appareils politiques. De façon choquante, le Commissaire Européen, M. Chris Patten, est personnellement intervenu pour entraver cette démarche pourtant conforme à la mission de contrôle du Parlement Européen sur la Commission exécutive. Ce succès est un désaveu cinglant pour le Commissaire qui déclarait "j'ai besoin de cette commission d'enquête comme d'un trou dans la tête".

Pour un vrai débat parlementaire:

Désormais, la Conférence des Présidents peut décider de mettre la résolution à l'ordre du jour. En théorie, elle pourrait refuser mais pour les signataires, il serait inconcevable d'écarter la volonté de 170 députés. Pour François Zimeray, "refuser d'en tenir compte, c'est non seulement refuser de regarder la vérité en face, mais aussi agir contre la paix, et consacrer l'abdication du Parlement Européen devant la Commission".

Les signataires tiendront une conférence de presse
au Parlement Européen à Bruxelles le mardi 4 février à 11h00.

Contacts

Coralie DECLERCQ
Assistante parlementaire
Tél : +.32.2.284.53.60.
Mobile : +32.498.31.36.52.

Shira ANSKY
Assistante parlementaire stagiaire
Tél : +.32.2.284.60.14.


* Yediot Aharonot


03/02/03

bonjour je m'appelle NADIA j ai 16 ans et je suis de marseille mais je sui d origine algerienne de batna et je tenai a vous écrire car c' est j'ador mon pays et encore plus ma ville batna
Je souhaite a tous les algériens une belles et heureuse vie


20/01/03

Décryptage
Un excellent film à voir

L'affiche est choc : on y voit l'image qui a fait, en son temps, la une de Libération : en gros plan un Israélien casqué et en uniforme qui hurle, la matraque à la main. Plus bas le visage ensanglanté d'un jeune homme en état de choc. Pour le quotidien, point de doute : c'était-là un exemple criant de l'équation Israélien = soldatesque brutale, victime brutalisée = Palestinien. Seulement, voilà, la vérité n'est pas celle que l'on nous a présentée: le policier, en fait, vient de sauver un jeune étudiant américain d'un début de lynchage. Les coupables étant des Palestiniens.

Certes, comme nous le dit le film, le quotidien avait rectifié, mais quelques jours plus tard et de manière discrète, en page 13.

Et des exemples de ce type, Décryptage nous en donne d'autres, démontant notamment les images soi-disant à charge contre Israël les plus chocs de l'Intifada actuelle. Avec, point capital, ce qui a été faussement qualifié de déclencheur de celle-ci, à savoir la visite d'Ariel Sharon sur le Mont du Temple. Alors que nombre de témoignages et commentateurs démontrent ici que cette agression avait été planifiée bien avant par Yasser Arafat. Ainsi peut-on voir un ministre de l'Autorité palestinienne le clamer haut et fort lors d'un meeting du Hezbollah au Liban.

Contre images peu connues, voire totalement inconnues. La question étant de savoir pourquoi.

Et, au-delà du choc de la vérité qui jaillit ainsi, Décryptage, est également un film de réflexion. Pour dresser un constat, d'abord, mais aussi réfléchir sur les raisons de cette désinformation.

Des témoins privilégiés, tels que l'ancien Premier ministre Ehoud Barak ou Shlomo Ben Ami, ministre et négociateur de ce gouvernement travailliste qui offrit la paix à Camp David, puis à Taba, James Rubin, porte-parole de Madeleine Albright et conseiller au département d'Etat, disent très clairement le refus de Yasser Arafat.

Des intellectuels, des journalistes, des professeurs, décortiquent, analysent ces représentations faussées du conflit israélo-palestinien.

La réflexion passe aussi par Durban pour aboutir aux Twin Towers du World Trade Center, un certain 11 septembre.

Compte tenu de la persistance inquiétante de la désinformation, compte tenu de la véritable nature du terrorisme, qui nous menace tous, il est essentiel de voir ce film, de le revoir, pour mieux percevoir la complexité de tous les mécanismes en cause, et voir ce qui se profile derrière le conflit proche-oriental. Et il est essentiel que ce film, qui n'est pas un film communautaire, soit vu par tous.

Hélène Keller-Lind

Décryptage, un film de Jacques Tarnero et Philippe Bensoussan, présenté par Sophie Dulac. Il sort sur les écrans en France le 22 janvier. Il sera projeté au cinéma L'Arlequin, 76 rue de Rennes, Paris 6ème. Métro St-Sulpice.

Le film a un site : http://www.decryptage-lefilm.com 


20/01/03

UN GRAND CHANTEUR ANDALOU

Bonjour à tous

Lily El Abassi un Grand de la Chanson Arabo-Andalouse
qui est le père de Robert Castel
Cordialement à Tous
Abdelghani

PS : Un petit rectificatif
Edmond Yafil n'était pas seulement chanteur mais grâce à lui
tous le répertoire de la chanson Andalouse c'est grâce à lui


20/01/03

Sujet: GENEALOGIE

Bonjour, Je cherche les familles ZERBIB, GHENASSIA, DADOUN, AOUIZERATE, ALLOUCHE, DUKAN, BOUCHOUCHA de Constantine. DAHAN et BOUHANA d'ORAN et Nemours Olivier Boina o_boina@hotmail.com 

 Merci


20/01/03

Sujet: Lili Labassi

Je recherche des documents ,des témoignages de personnes qui ont connus Lili Labassi et qui ont connus sa famille afin d'établir la généalogie de ma famille. Merci à tous

patsi@free.fr 


20/01/03

Je suis à la recherche d'un copain d'études, Georges Boumendil, qui habitait à Bab-El-oued et qui faisait ses études avec moi au Lycée Bugeaud, puis aux facultés d'Alger. La dernière fois que j'en entendu parler de lui, c'était par l'Express et il devait habiter du côté de Toulouse. quelqu'un peut-il éventuellement me communiquer son e-mail s'il existe, le dénommé J. Boumendil par exemple qui ne mentionne pas le sien sur le courrier qu'il vous a envoyé ? Merci d'avance. G.S

gerard-stagliano@wanadoo.fr 


20/01/03

Je recherche l'origine du nom de mon amie celui ci est HAFTARI Domicilié actuelement dans le doubs à Besancon En vous remerciant d'avance pour tous les renseignements qui me seront fournis Merci NORA Email bertin-denis@club-internet.fr  


20/01/03

salut
je suis étoné que vous n'ayez pas en liste des celebrites Fransoise atlan chanteuse
un répertoire classique ,anciens chants judeo-espagniol , arabo-andalous etc.....
elle vit a Marseille en tout cas a Marseille elle est célebre.j'éssaierais de lui comuniquer votre site. salut.
Zouhir



20/01/03

L'UEJF dénonce un boycott d'Israël "en catimini" à l'Université Grenoble II

En dépit de la mobilisation des dizaines de milliers d’universitaires, de plusieurs prix Nobel, du Ministre de l’Education nationale, du Quai d’Orsay, de l’UNEF (premier syndicat étudiant français), et de l’UEJF, le Conseil d’Administration de l’Université grenobloise Pierre Mendés France (Grenoble 2), a voté à son tour une motion demandant à l’Union Européenne de ne pas renouveler son accord cadre de coopération universitaire avec Israël. 

Le Conseil d’administration de l’Université Paris X Nanterre devrait être saisi de la même question lors de sa prochaine séance. 

[...] la motion a été déposée, comme à Paris 6, par surprise «en catimini», alors que le quorum du conseil n’était même pas atteint, c'est-à-dire qu’il ne pouvait délibérer. 

L’UEJF [...] demande à être reçue en urgence par le Ministre de l’éducation nationale et la Conférence des Présidents d’Université afin que soit déposé dans toutes les Universités françaises une motion similaire à celle adoptée par l’Université Paris VII le 7 janvier dernier rappelant les principes fondamentaux gouvernant l’enseignement supérieur. L’UEJF va par ailleurs, entamer des actions judiciaires devant les tribunaux administratifs pour faire annuler ces motions en raison de leur illégalité. 
[...] 

Contact Presse : 
Alain KAISERMANN 01 55 07 58 18 ou 06 60 21 79 67

http://www.uejf.org/uejf_detail.php?sid=&id_art=156&id_type=2 


20/01/03

Bonjour,

Je suis tombée par hasard sur votre site (je cherchais le thé aux pignons pour un copain de métropole ), 
Je suis née à Alger et j'ai aimé la ballade virtuelle (souvenirs, souvenirs!)
Cordialement

Abi


20/01/03

je suis jeune algerien comme vous tres interesse par votre site car vous etes aussi une partie de nous mais malheureuseument la politique,le rasisme a cree la diference mes parent me raconte toujour l'amour et la fraternite qui ont vecu a l'epoque avec leur frere juifes ils ont partage la souffrance etc 
je suis jeune homme de 32 ans habite a bab el oued pres une synagogue dont il ya 02 femme juife sont tres gentille et aussi aimable dans le quarrtier'moi je suis tres interesse par la musique judeo algerienne surtout dans le classique andalou'houzi il ya beacoup d'exemple a donner reinette loranaise'lilli abassi.lilli boniche alicefitoussi blond blond simone tamar etc la liste n est pas finis selon le temoinage de beaucoup de personne les juives ont saufgarder les tradition la culture et l art de l algerie par exemple le comedien algerien robert castel le fils de metre lilli abassi ont le voyant une fois celebre la fete de laid en france javais des larmme aux yeus car je sais veut dire quoi l'exile .enfin une autre fois je veux bien etre ami de votre site 
salut shalom salem

Sid Ali


20/01/03

bonjour,

je voudrais savoir s'il y a une boucherie cacher dans le 64 vers bayonne.

Merci de me répondre  
VIEUX.ROLAND@wanadoo.fr 


20/01/03

Alain chabat est né à Oran et non pas à BLIDA !


Merci ,


Signé : un vrai blidi


20/01/03

Des écrivains de gauche se remettent en question
(Deux grandes figures de ce que certains appellent le "camp de la paix")

Dans une interview accordée au quotidien Haaretz, les deux écrivains de gauche MM.Oz et Grossman se sont remis en question. Les deux écrivains parlent de la sensation qui les accompagne depuis le début de l'Intifada armée : ils croyaient être devenus un peuple comme les autres mais la réalité semble avoir dépassé leurs rêves.
«Mon sentiment est que depuis le début de l'Intifada et des actes antisémites de par le monde, quelque chose a changé. L'Israélien moderne, qui pensait être devenu universel, qui surfe sur Internet et possède les câbles se retrouve soudain faisant partie d une sorte de destin tragique du peuple juif, lui qui pensait que ce concept n'existait plus» a déclaré Grossman.

[Amos, E.L.] Oz quant à lui s'est déclaré «horrifié par la haine de l'intelligentsia israélienne de gauche pour tout le peuple israélien. Ils ne détestent pas seulement les habitants des implantations, les religieux, la droite et les nationalistes. Ils détestent aussi l orthodoxie, la musique israélienne, les chansons du peuple, les souvenirs, tout».

Pour [David] Grossman, le lynch de Ramallah a été pour lui un tournant. «J'ai compris que les arabes ne nous accepteraient jamais. Parfois je me dis qu il n'y a aucune chance. Je regarde la carte de la si petite Israël, les pays qui l'entourent et je suis désespéré. Selon moi, la gauche est un échec, même si je suis fier d'en faire partie ».


20/01/03

Bonjour, 

je vous contacte de Songlines, une magazine de la musique du monde. Dans la
prochaine edition, on aura un article au sujet d'Oran dans les annees
1930-40, plus specifiquement la musique juif/algerien.

Je suis en train de chercher des images et voudrais savoir si vous en avez
ou peut-etre pourriez m'aider?
Ci-dessous sont quelques idees de ce qu'on cherche:

Le Derbe, le quartier juif d'Oran,
Rue de la Revolution
Cafe Saoud et Cafe Salva (Brasserie de la Gaiete)
Cheikh Zouzou,
Lili Labassi
Reinette L'Oranaise
Lili Boniche
Line Monty
Luc Cherki
Maurice El Medioni
Hamid Guerbi
Cheikh Raymond Leyris

On a besoin des images de 300dpi et au moins 10cm de longueur.

Dans l'attente, je vous serai tres reconnaissante,
Amicalement
Jo Frost

-- Jo Frost Assistant editor Songlines 

jo@songlines.co.uk 


20/01/03

Madame, Monsieur,
Shalom

QUe signifie le nom LABBAK ?

Je vous remercie

zipette@wanadoo.fr 


Page precedente     Page suivante

ENVOYEZ VOS COMMENTAIRES VOUS AUSSI

[_borders/disc3_foot.htm]

Communautes d'hier

  | Alger | BiskraBlidaBone | Bougie | Constantine |Kenchela

  | Oran | OrleansvillePhilippeville | Mzab | Setif | Le Sud |

 

 

Communautes d'aujourd'hui

France

Israel

USA

 

© 2002 Harissa Inc. All rights reserved.

                           

Ecrivez nous