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Zlabia : Friandise formee par un outil rudimentaire et la main magique du ftairi, puis frite et trempee dans le miel. 

 

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DISCUSSION

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22/07/02

Dadoun est-il un nom juif d' Algérie?

b.m.washington@wanadoo.fr 


22/07/02

je represente ma mere elle recherche des personnes ayant vecu rue marengo ou ayant ete à l'école des filles rue du divan à alger elle s'appelle molina christiane

gonet sylvie
saint denis, REUNION 97400

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22/07/02

Bonjour,

Je voulais vous dire que votre site est trés bien. En effet je l'ai visité plusieurs fois et je trouve les photos magnifiques.

Etant d'origine constantinoise j'aimerai savoir si il était possible de se procurer des vidéos de m'epoque ou des fotos des quartiers "juif" comme la rue thiers la rue Grand etc...

De plus j'aurais souhaité savoir si il était possible que je participe a votre site de quelques manière que ce soit.

La recherche sur consantine est l'une de mes activités les plus ardues, ainsi si il était possible d'avoir une aide de professionels cela m'aiderait considerablement.

j'attends votre reponse.

Rudy Nabet

rudy rudy [rudy_nabet@yahoo.fr


22/07/02

je recherche des personnes qui connaisse la famille samoun ou la famille rieh ou la famille azan , originaire d'alger..... svp!!!!!!!!!! répondez moi!!!!!!!!

jérémy chatelain

easyjay91@aol.com 


22/07/02

Bonjour
je cherche des photos de la ville de mascara , en avez vous ?
ou pourais je en trouver sur le net?

merci

nathaniel.musicant@club-internet.fr 


22/07/02

bonjour, je cherche la signification du nom "Benadiba". je vous en remercie par avance.

Archilok@aol.com 


22/07/02

je ne peux vous aider au contraire je recherche des informations sur la famille seror originaire d'Oran

merci

dominique seror

dominique-david.seror-boulet@wanadoo.fr 


22/07/02

Sujet: algerie
http://fr.groups.yahoo.com/group/enrico_macias/ 

Algérie de bravoure, Algérie mon amour, Algérie pour toujours

Oh! Terre de sacrifices, huitième merveille du monde

Cette terre où toutes les saisons se confondent

Cette terre où tous le climats se rassemblent

La mer, le sable doré, les montagnes et les dunes

Rien ne va plus dans mon pays, le plus beau pays du monde

On a voulu ta mort même avant ta naissance

Algérie ma patrie, tu es belle, tu es jeune

Mais on a voulu faire de toi une vieille veuve avant l'heure

Pourquoi tant de haine, pourquoi tant de sang?

Combien de larmes faudrait-il sécher, combien de sang faudrait-il déverser?

Combien de patience, combien de souffrance, de sacrifices faudrait-il donner

Pour que tu retrouves enfin la paix

Tes enfants sont devenus des étrangers dans leur pays

Est-ce ton amour qui nous sauvera un jour?

Car je t'aime et j'aime en toi la simplicité de tes gens

J'aime en toi la bravoure de tes femmes et le courage de tes hommes

J'aime regarder tes enfants jouer en toute quiétude

Avec dans leurs yeux une lueur d'espoir

Celle de l'Algérie de demain.


22/07/02

Et si pour une fois en tant qu'originaires de cette même terre, on oubliait la Palestine et Israêl et qu'on se consacre à la réconciliation et à oeuvrer pour que ce pays redevienne celui de tous ses enfants

Hichem- SETIF- ALGERIE


22/07/02

Ilannismes ! (info # 011407/2)

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency



Le Canard fait coi-coi ! Il s’agit de la seconde édition successive dans laquelle le journal satirique paraissant le mercredi ne moufte plus mot au sujet des événements du Moyen-Orient. Ca n’est pas que la guerre se soit arrêtée, petits malins, mais plutôt que Saturnin s’accorde quelques temps de réflexion quant à la ligne éditoriale qu’il convient de suivre à l’endroit de notre conflit. Il faut dire que le palmipède avait du plomb dans l’aile, suite aux coups d’arquebuse répétés de Salomon Pardess. Au Canard, on n’a pas encore banalisé le fait de se faire prendre en flag de caricatures racistes et c’est aussi bien ainsi. C’est même carrément atypique parmi les oiseaux des autres espèces de la volière des médias français. Qu’importent les intermèdes, du moment que le canard cesse en fin de compte de voler en bande, surtout lorsque ces bandes noircissent l’éther de plumes infréquentables.



Lorsqu’on vous disait que tout le monde lit la Ména ! Jeudi soir, après deux mille et deux ans d’attente, France 2 disait dans un reportage consacré à notre guerre : les implantations selon les Israéliens, les colonies, selon les Palestiniens ! Nous, qui ne pensions pas vivre assez longtemps pour ouïr ce genre de choses… Oui mais ! La sémantique et la philologie ne sont pas des sciences négociables ni des questionnaires à choix multiples, aussi, ne s’agit-il pas de présenter ce qu’en pensent les belligérants mais d’utiliser la formule adéquate. C’est comme de dire, à propos d’une embarcation flottante, un bateau, selon les Israéliens et une pompe à vélo, selon les Palestiniens, les mots sont régis par des règles, pas par la démocratie ! Parce qu’une colonie, tous ceux qui ont fait une année de sciences po savent précisément ce que c’est. Une colonie, cela participe d’un phénomène politique archi-étudié, comprenant des critères identifiables avec certitude. Ce dilemme ne participe pourtant pas d’une dispute à finalité sémantique – comme si dire implantation c’était tout à coup moins péjoratif que de dire colonie ou que cela ferait se ranger l’usager du mot implantation derrière la politique du Grand Israël – mais des conséquences éthiques dues à ce fourvoiement du langage. Par l’égard dû aux morts, lorsqu’on emploie un français adéquat, on ne peut alors pas dire qu’un colon de trois ans a été tué lors de tirs palestiniens mais on sera amené à rapporter qu’un bambin – un être humain ! – est décédé des mêmes causes.



Et puis, Ilan note que si ce sont les Palestiniens qui prétendent qu’il s’agit de colonies, les médias français, jusqu’à maintenant, n’ont parlé que le palestinien !



Un groupe de lecteurs m’a adressé un message qui m’a bien déridé (adresse à la disposition de Charles Enderlin auprès de notre rédaction), aussi désire-je le soumettre à l’attention générale : "Mes amis et moi-même aimerions faire savoir à M. Enderlin :

1- Qu'avant d'être abonnés à la Ména, nous avions tous des envies violentes de taper sur nos télés à l'heure où lui et d'autres nous assénaient leur vision partielle et partiale des évènements. Aujourd'hui, on se frotte bien les mains en se disant attends un peu de voir ce que la Ména va te coller, mon lapin, comme quand on sait que la justice va leurs être rendue.

2- Que les menaces – injustifiables ! - dont lui et sa famille sont les objets, devraient l'aider à prendre la mesure de l'injustice ressentie par les gens qui sont victimes de ses égarements professionnels (lorsque, par exemple, il appelle kamikazes – je ne savais pas qu’ils étaient japonais ! – les terroristes qui se livrent à des assassinats collectifs de civils innocents)."

Eh oui, les mots ont toute leur importance, surtout pendant les guerres, et ça n’est pas l’AFP qui nous détrompera, qui négocie un à un tous les emplois sémantiques de ce conflit. Parfois, le militantisme anti-israélien de l’agence française a des conséquence inattendues et cocasses, comme lorsque les Palestiniens se sont mis à tirer du village de Bet Jala sur les civils pacifiques du quartier de Gilo, à Jérusalem. France Presse sautait alors sur l’occasion de justifier les tirs arabes par voie de raccourci terminologique, en faisant passer dans ses rangs une note interne informant son personnel que Gilo était une colonie et qu’il fallait désormais la traiter comme telle. Oui mais encore, deux des fonctionnaires les plus zélés et délétères de la correspondance jérusalémite de l’affreuse officine habitent dans les quartiers d’Armon Hanatziv et de Pisgat Zeev ! Or ces quartiers sont logés à la même enseigne que Gilo, puisque comme elle, ils débordent des frontières de l’ancienne municipalité sur les terres qui étaient jordaniennes avant 1967. Dès lors, la décision du commissaire politique de l’AFP concernant Gilo faisait également des colons de ces deux collaborateurs exemplaires ! Moralité, les manipes linguistiques de la désinformation ne sont pas toujours sans dangers pour les désinformateurs !



Alexandra Schwartzbrod s’en va ! Ce sont nos amis à Libération qui nous ont confirmé la rumeur avec une satisfaction certaine. Même que beaucoup des membres de la rédaction entendaient qu’elle quitte la Terre Sainte en juin déjà mais après de véhémentes discussions, elle a arraché un sursis de six mois. A Paris, on juge qu’Alexandra ne bougeait pas assez son body, qu’il ne l’amenait pas suffisamment sur les lieux où se produisait l’événement. De plus, même à Libé, on s’est rendu compte que la jeune femme était également anti-israélienne de façon caricaturale.



A Métula, on abonde dans le sens de la conviction de nos collègues mais surtout, on trouve qu’Alex ne remplit pas son mandat de correspondante en Israël, en cela que quelqu’un qui lit Libération ne reçoit pratiquement aucune info retraçant les événements importants de l’actualité de notre pays. Schwartzbrod c’était le fait divers marginal, militant et déséquilibré, traité dans la superficialité.



Apprenant que celui qui est pressenti pour la remplacer en décembre prochain est israélite et hébraïsant, Schwartbrod n’a pu retenir – et c’est le moins que nous puissions dire, elle l’a dit à toute la république – que "son remplacement était encore un coup du lobby juif". Ben flûte, nous qui croyions en Galilée que les accusations contre l’Internationale juive avaient disparu à la libération, nous ne pensions pas qu’elles reviendraient par la bouche d’une journaliste de Libération. Surtout qu’à compulser le magazine que Guy Bedos appelle le Kibboutz, parlant du Nouvel Observateur, à cause du nombre de ses rédacteurs juifs, on se dit qu’avec un lobby pareil, les terroristes islamiques ont encore de beaux jours devant eux !



Mauvaise camarade, la Schwartzbrod, qui s’est mise à poser des mines anti-personnelles auprès de ses relations de travail dans la région, annonçant par exemple à ses contacts palestiniens que celui qui allait la remplacer était un sioniste. On imagine que ce genre de sabotages ne va pas faciliter la tâche du correspondant pressenti, même si d’autres grands reporters s’emploient à rétablir les faits sur le terrain. Ici, on se dit que Libé a fait deux grosses fautes dans la gestion de cette affaire et qu’elle paie désormais le prix de ses erreurs : D’abord d’envoyer dans une région si délicate un correspondant qui ne la connaissait pas du tout et qui se vantait de cette inculture, ensuite, de ne pas avoir renvoyé Alexandra dans son foyer en juin, fut-ce au prix de désagréments administratifs. Ces deux commentaires s’ajoutant à tous ceux que nous avons déjà publiés.



Tout n’est pas médiocre à Libération, témoin l’article de Jean-Pierre Perrin – Le monde arabe cancre des libertés – qui fait le pied de nez à la pensée unique des anti-mondialo-verdo-oèngo-tiers-mondistes et à ceux, nombreux dans les médias français, qui ont loupé la Glasnost ! Ca n’est pas que l’article, sobre et sérieux, de Perrin soit exceptionnel mais, faisant état d’un rapport alarmant qui décrit la situation des libertés dans les pays arabes, je suis agréablement surpris – on a appris à se contenter du minimum - qu’on l’ait laissé paraître. Et si un ramolli du bocal imagine que je me félicite des conclusions de ce rapport, c’est qu’il n’a jamais essayé de progresser en classe, alors qu’il était assis à côté d’un cancre – croyez-en le témoignage repenti d’un cancre - ! Je suis bien entendu de l’avis que si le monde arabe qui nous entoure était un tant soit peu tourné vers les valeurs démocratiques, cela ferait longtemps que je passerais mes week-ends à Damas ou à Bagdad.



J’avoue ne pas avoir compris le sens des dizaines de mails que nous avons reçus et qui condamnaient le denier article d’Antoine Jacob dans le Monde à propos d’un commentaire des habitudes médiatiques des Palestiniens. Certes son papier précédent Les Médias occidentaux accusés de partialité au Proche-Orient avait constitué un haut fait absolu de propagation de la rumeur désinformatrice mais là, franchement, j’ai lu et relu le dernier sujet de Jacob et rien de ce qui y était écrit ne m’a fait sursauter.



Une chose peut-être quand même : le journaliste mentionne les tendances de trois journaux palestiniens, or je suis persuadé qu’il n’en a jamais lu un seul. On pourrait me demander s’il faut impérativement comprendre l’arabe afin de faire un article sur la presse arabophone ? La question est légitime et complexe, même si je conseillerais à la Ména d’envoyer à Oslo un type qui parle le norvégien, si la Ména entendait d’aventure faire une analyse de la presse norvégienne. Dans le fond, il y a assez de reporters qui parlent le scandinave et l’arabe pour leurs confier ce genre d’enquêtes.



Pour en revenir précisément à l’article de Jacob, ce qui m’ennuie dans son ignorance de la langue, c’est qu’elle l’a confiné dans un questionnement qui se limitait à définir si la censure de l’Autorité Palestinienne sur les journaux des territoires était totale ou relative. A mon avis, en tant que quelqu’un qui lit régulièrement pour vous Al Hayyat al Jedida, le Monde manque l’essentiel de la critique. Je veux dire qu’il suffirait de traduire intégralement le journal gazatien durant une semaine et de le placer comme supplément dans les quotidiens tricolores, sans ajouter le moindre commentaire, afin de dégoûter les Français de la cause palestinienne, même ceux qui la tiennent en grande sympathie. Ceci, parce que ces journaux – je ne parle pas de Quds, qui est largement influencé par la proximité culturelle et médiatique israélienne – procèdent d’une indigence, d’une haine primaire, d’un fond mensonger et d’une incitation à la violence permanente, qui nanisent les questions que s’est posé Jacob, au point de les rendre non relevantes. Al Hayyat al Jedida, c’est ce journal qui avait annoncé sur sa une, que les soldates israéliennes s’adonnaient au striptease afin de massacrer les jeunes combattants palestiniens, c’est celui qui prétend que les Israéliens utilisent des munitions nucléaires et des gaz de combat, que ce sont eux qui ont assassiné leur propre ministre du tourisme ainsi que les vingt et un jeunes gens de la discothèque du Delphinarium à Tel Aviv. En fait, il me faudrait un article d’une longueur du double de celui-ci, seulement pour énoncer le titre des impostures objectivement bellicistes publiées par Al Hayyat durant ces six derniers mois, alors que les lecteurs du Monde, eux, n’en ont pas eu droit à une seule.



Finissons cette revue de presse, si vous le voulez bien (même si vous ne le voulez pas, moi je vais aller me coucher !), par la nouvelle de l’appel au boycott lancé par des intellectuels français contre la consommation de produits israéliens, mise en équation avec l’information que j’ai relevée mercredi dernier dans un journal agricole israélien. Il paraît que la société Agrexco a procédé à un investissement dans la bande de Gaza destiné à aider les paysans palestiniens à cultiver, par eux-mêmes, des tomates cherry et des haricots verts. Cet investissement va non seulement donner du travail sur place à cinq cents cultivateurs locaux au chômage mais, encore et surtout, les Israéliens se sont engagés à distribuer les deux produits sur les marchés européens et américains par fret aérien.



Sachant qu’Agrexco est la seule société du Moyen-Orient capable et intéressée à diligenter des produits végétaux frais sur les marchés étrangers et sachant que les Français qui ont la télévisions se sont rendus compte de ce que les Palestiniens manifestaient à Gaza parce qu’ils n’ont pas de quoi nourrir leurs familles, on peut légitimement se demander contre qui l’action des intellectuels français est-elle dirigée ?



A moins que la symbolique militante soit pour eux terriblement plus urgente que le contenu des assiettes des enfants palestiniens ! Surtout que je n’ai jamais vu, dans le port de Gaza, de navire de bouffe affrété par ces donneurs de lecons.


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