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DISCUSSION
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22/04/02
bonjour,
j'ai essayée de répondre a une annonce mais l'adresse e-mail n'est pas bonne t.d.Dahan annonce du 18 02 il y est mentionné le nom Arfi .Pourriez-vous m'aider a contacter cette personne merci d'avance .
Karine
david.nocquet@wanadoo.fr
22/04/02
I saw your website online. I was visiting the
synagogue in Jerba only 2 years ago and was so sad to
hear of what happened recently. Do you know of any
organizations collecting donations or a contact of
someone over their I could send one to?
Thanks,
Jeff Rosenfeld
Atlanta, GA, USA
jeffrosenfeld@yahoo.com
22/04/02
Bonjour,
Notre famille est originaire d'Oran, où mon père était
instituteur ( école Berthelot ) et ma mère infirmière à la
polyclinique (Village nègre ) et Mairie d'Oran.
Elle était très liée avec M et Mme BENIZRI : lui était
sculpteur, sa femme infirmière ; M BENIZRI avait un frère
pharmacien, place hyppolite Giraud à Oran.
Je voudrais, en mémoire de ma mère, retrouver ses amis, et
reconquérir un peu de mon histoire.
Merci de m'avoir lu.
Pierre COURANJOU
pierre.couranjou@laposte.net
22/04/02
salut
je suis d'oran, votre site étais mon prefere, une certaine nosalgie y était dégagé, mais voilà que tout cet effort pour la communication , pour la paix entre les gens, les voilà assassinés par ce terroriste de
sharon
ciel331@yahoo.fr
22/04/02
Bonjour,
mon pere est pied noir il s'appelle yves aboukrat
Abou91330@aol.com
22/04/02
salut je m'appelle marie-rose nee LOUGASSI et je recherche la famille
LOUGASSI, SEBAOUN, DRIGUES, JAïS d'alger babel-oued contacter moi merçi d'avance
marie-rose
sigalle.reboul@wanadoo.fr
22/04/02
VILLE DE TLEMCEN
Bonjour a toutes et a tous ! je recherche des gens, ou des personnes dont les parents on vécu a Tlemecen en 1962.
J'ai 20 ans j'habite paris j'aimerai connaitre un peu mieux mon passé... pour me contatcer :
DAVID
mulder255@msn.com
22/04/02
Sujet: l'installtion de la stèle de dihia, la kahina,
reine
berbère
grace aux efforts de l'association culturelle et scientifique,acsk,de khenchela,la stèl de la reine dihia,sera installée a sa capitale
baghai, distante de dix kilomètres de khenchela,le18/04/02
wazawi@caramail.com
22/04/02
Sujet: Colomb- Béchar
Bonjour, Ma famille est de Béchar (1904/1962)
Si vous avez des informations concernant la Famille MONIER, merci de me laisser un e/mail. J'ai fait mes études jusqu'en 3°.
Mon père avait un bar et un cabaret, ma grand-mère le bar le Phénix rue Poincaré.
Merci d'avance, Maurice MONIER
monier34000@aol.com
22/04/02
Sujet: LES AURES
Ce site est dédié à cette grande oubliée qu'est la région des Aurès (pays chaoui d'Algérie) fief de la Kahina, Massinissa, Jugurtha et des grandes figures de notre histoire numide. Cette Aurès qui a donné tant de ses valeureux enfants pour que vive l'Algérie libre et indépendante!
L'Aurès, cette région authentique et ancestrale si riche et si méconnue mérite ici un hommage particulier !
Car, ignorance et méconnaissance sont entretenues par les uns, volontairement encouragées par d'autres…
Mais que leur a-t-on donc fait à tous ?
En effet, que l'on agisse ou que l'on se taise, les Aurès (plutôt les Chaouis) sont constamment interpellés, provoqués…
http://www.aures.fr.st/
aures@dolphweb.com
22/04/02
Sujet: enrico macias chanson en mp3
je suis une grande fan d'enrico macias je regarde souvent ce site est ce vous mettre des chansons d'enrico macias en mp3 est que c'est possible merci d'avance
nathaliebenschalom@yahoo.fr
22/04/02
j'ai vu un jour le film 'la liste de schindler' je crois que c'est ça le titre. et à la fin du film, il y avait une phrase de la bible qui disait:'derrière chaque être humain, il y a une civilisation'
22/04/02
Sujet: je me sens perdu
vous les juifs.
par respect à tous les juifs qui ont été tués sous le nazisme, bougez et dites non aux massacres qui se perpétuent contre les palestiniens.
22/04/02
Sujet: Bijouterie
Bonjour à tous!
J'aimerais savoir si on peut trouver à Paris un bijoutier constantinois qui fasse des bracelets en forme de serpents.
Merci à ceux qui répondront! Magali
mguedj@net-up.com
22/04/02
Sujet: recherche LEVY Serge, Alain, Lucie d'ORAN urgent
URGENT: Je recherche LEVY Serge, Alain, Lucie d'Oran ou d'Oranie. L'un des deux hommes est certainement le père de l'autre. L'un des deux a certainement été élève du Lycée Lamoricière d'Oran, notamment pendant l'année scolaire 57/58. Il devait être ado. L'un des deux, certainement l'élève, a passé ses vacances de l'été 57 en Savoie/ Haute Savoie et Suisse: Annemasse, Salève, Evian....
Lucie est certainement la soeur.
J'ai a remettre à l'élève un souvenir digne de ce qui aurait pu être sorti des coffres du Titanic
d'avance merci
jean-pierre rondeau,
22/04/02
Sujet: José BOVE
J'ai lu un commentaire sur José BOVE, arrêtez de parler de cet imbécile. Il ne tardera pas à croupir en prison et nous souhaitons, tous, dans la communauté juive qu'il y finisse ces jours. Amen.
Laure BENICHOU
22/04/02
Sous le prétexte autodestructeur du délit juif ! (info # 012104/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
On se rappellera encore longtemps de l’Opération Rempart, je puis vous en assurer. Comme il y avait l’avant guerre de 73, il y aura désormais l’avant et l’après Rempart ! Comme si, aussi, les guerres du Moyen Orient étaient condamnées à rythmer le temps du monde et à le découper en périodes reconnaissables.
En 1973, la guerre de Kippour avait principalement marqué l’économie globale. Simplement, en faisant grimper le cours du pétrole vers des sommets qu’elle ignorait jusqu’alors, ce conflit avait changé les coutumes de vie de tous les habitants du globe. En fait, la Guerre d’Octobre, comme l’appellent les Arabes, nous avait surtout appris l’économie. Si, jusqu’en 73 on développait des voitures et des avions sans se soucier de leur consommation en carburant, la multiplication du prix du pétrole nous avait rendu sages. On a découvert depuis les avantages des berlines compactes et des jets qui vont moins vite que leurs prédécesseurs des années 60 mais qui volent pour beaucoup moins cher.
Comme Ilan l’aurait écrit, s’il n’avait pas été invité à revêtir l’uniforme tsahalien, "qu’est-ce que ça peut faire, les Boeing vont toujours assez vite pour casser les gratte-ciel ! "
Il aurait eu tort de réduire l’importance des événements à leur expression catastrophique, le pamphlétaire de la Ména, même si j’utilise lâchement son absence afin de lui coller un procès d’intention, juste pour servir mon explication. Cette fois, en plus d’attenter à notre portefeuille, en faisant à nouveau exploser le prix du brut, j’ai l’impression que Rempart est en voie de bouter le feu à toute la ménagerie ! J’entends par là, que cette campagne de l’armée israélienne, qui ne représente guère plus, en vérité, qu’une grosse opération de police, va servir de prétexte à une redistribution des codes et des valeurs de la société occidentale.
Une fois de plus, aussi, le Juif est en train de cristalliser sur sa personne des réactions de masses qui n’ont déjà plus rien à faire avec lui. Une fois de plus, je perçois que la résurgence du problème juif est en passe de faire la courte échelle à l’éclosion, à la réactivation, de toutes sortes de thèmes de frottement qui n’ont, bien sûr, rien à voir avec le Moyen Orient.
Ce que le philosophe va trouver affolant, dans l’ébullition à laquelle il assiste en spectateur, c’est la fragilité incroyable des systèmes démocratiques et des valeurs sur lesquelles ils reposent ! Le onze septembre, la destruction de deux immeubles, des grands immeubles certes mais des têtes d’épingles dans l’infrastructure américaine et mondiale, a suffi à mettre la planète à genoux. Des dizaines de milliers de personnes ont ainsi perdu leur emploi, suite aux attentats de New York et l’industrie du transport aérien, qui fait son beurre quotidiennement, depuis des décennies, se serait écroulée elle aussi, après trois jours de paralysie, si elle n’avait pas été secourue par le gouvernement américain, à coups de milliards de dollars !
J’aurais tendance d’ailleurs à mettre les attentats du 11 septembre et l’opération Rempart dans le même panier en compagnie, assurément, tous les événements qui les caractérisent ou qui les ont générés, telle la campagne d’Afghanistan et celle des assassinats collectifs de civils israéliens par les kamikazes palestiniens. Non seulement ces événements sont-ils le fait d’organisations issues de la même civilisation musulmane mais encore, elles utilisent, distinctivement de tous les autres conflits, les mêmes armes et les mêmes soldats, dans la recherche du même objectif.
C’est la première fois que l’humanité assiste à l’usage offensif du sacrifice personnel, à la différence des kamikazes japonais, qui s’écrasaient sur les bateaux américains "dans le but tactique d’empêcher l’occupation de leur pays." Dans cette crise-ci, et si on se donne la peine d’écarter les explications éphémères, nous voyons des gens qui acceptent de cesser de vivre – que dis-je "acceptent", qui prennent l’initiative de cesser de vivre – dans le seul but de tuer des personnes civiles appartenant à une autre civilisation ! Cette gourme, invraisemblable pour nos esprits d’occidentaux et cette promptitude à faire le don suprême et irréversible de soi, non plus pour la défense mais pour le triomphe d’une cause collective, c’est bien ce que l’Histoire retiendra de ces événements, une fois que les remous de l’actualité se seront calmés.
Bon, mais ces observations se placent toujours dans une perspective économique et tactique, me direz-vous, avec l’à propos des lecteurs auxquels on demande régulièrement de réfléchir et où trouvons-nous alors la redistribution générale des normes et des valeurs dont vous nous avez parlé préalablement ? Et pour compléter votre interrogation, vous me demanderez en quoi cette éruption sociale et intellectuelle est-elle liée à l’opération Rempart ?
Dans les normes journalistiques d’abord ! Dans la licence soudaine et légitimée par le public ET par l’autorité que se sont octroyés les médias, de fabriquer l’information à leur guise, occultant ici un fait qui n’entre pas dans leur plan de marketing et en inventant un autre, là, qui manquait à la crédibilité de leur produit. Ca n’est que jeudi dernier, que j’ai soudain compris à quel point les normes de toute une profession avaient changé et qu’il fallait rapidement admettre, que nous n’avions pas à faire face à une péripétie passagère mais à une épidémie durable ! Le journaliste d’un média économique européen qui m’interviewait n’était ni malhonnête, ni ignorant des nouvelles du conflit, telles qu’elles sont répercutées sur le vieux continent. A un point donné de notre entrevue, il me demanda "mais alors, pourquoi Israël a-t-elle refusé d’entériner les propositions Tenet et Mitchell ?"
J’ai d’abord senti une poussée d’adrénaline envahir mon cerveau mais bien vite, fouillant dans ma mémoire, je me suis rendu compte, QUE DANS LE CONSENSUS MEDIATIQUE EUROPEEN PERSONNE N’AVAIT CLAIREMENT ANNONCÉ QU’ISRAEL AVAIT ACCEPTÉ LES PLANS TENET ET MITCHELL ! Qu’importait que l’Etat hébreu ait accepté ces propositions au mois de juin 2001 ? Qu’importait qu’il ait à nouveau réitéré son acceptation, après que le général Zinni y eut apporté des modifications de son cru, au début 2002 ? Qu’importait encore, que la raison de l’échec de sa mission, évoquée par le même Anthony Zinni, a justement résidé dans le refus des PALESTINIENS d’accepter la mise en œuvre des mêmes propositions, quand les médias européens escamotent ces faits ?
Pour le journaliste qui m’interrogeait, ma réponse a du sembler étonnante, puisqu’elle faisait partie du non-dit des termes de ce conflit tels que véhiculés par la presse européenne. Et le non-dit, lorsqu’il atteint ces proportions de mainmise sur les connaissances des gens et surtout, lorsqu’il a élu de ne pas véhiculer une information aussi significative dans l’établissement des responsabilités des protagonistes, devient, en des termes quasi métaphysiques, le non-est !
Parlant de normes, de tohu-bohu, de philosophie et de licences spéciales, on doit dépasser les lacunes de mon interviewer, dépasser aussi Thierry Ardisson dans son "Tout le monde peut se tromper" d’hier soir, dans lequel il s’est aventuré, au terme d’un entretien bien gentillet avec Boutros-Ghali, à un "qu’est-ce qu’il peut y avoir de plus catastrophique que Jénine ?"
La perte des valeurs qui accompagne les faits de New York et de Tel Aviv est d’inspiration nihiliste, s’écrie mon ami, l’écrivain-psychanaliste Gérard Huber et comme il a raison ! Ils sont tous persuadés qu’ils tapent encore sur Israël et qu’ils ont le droit moral de le faire et ils ignorent qu’Israël ne leur sert en fait que de prétexte et qu’ils ont débuté, sans s’en rendre compte, une remise en question radicale et destructrice de leurs propres structures sociales et politiques !
Le phénomène est général et il touche la plus grande partie de l’Occident mais, comme d’habitude dans ce type d’épisodes confusionnels, il trouve son épicentre à Paris. Les journalistes et les animateurs de télévision sont précédés dans leur errance par le gouvernement de leur pays. Quand celui-ci condamne Israël à Genève, à la Commission des droits de l’homme auprès de l’ONU, pour avoir perpétré "des tueries massives de Palestiniens", ce qui équivaut à accuser Jérusalem de crimes contre l’humanité, il déroge lui aussi à toutes les normes. Le gouvernement français se permet ainsi d’accuser un Etat démocratique du crime le plus abominable qui soit, sur la base d’une simple rumeur !
On peut alors, au nom de la logique diplomatique, se demander à quoi sert la mission de surveillance que va envoyer Kofi Annan a Jénine, si la France a déjà décrété qu’Israël était coupable à priori. On peut ainsi se demander, dans quel état d’esprit l’ambassadeur de France à voté l’envoi de la mission Annan au Conseil de Sécurité de l’ONU, puisque son pays a déjà tiré les conclusions de "tueries massives" avant même qu’elle ne décolle !
Il est bien entendu que l’idée de justice ne souffre pas que l’on tire des conclusions aussi dommageables pour la réputation d’un peuple avant même que l’examen du dossier ne débute. En fait, et si on était devant un vrai tribunal, on conclurait à une procédure arbitraire et on disqualifierait les juges !
Mais ici, et c’est bien la différence, on respecte moins l’honneur et le droit d’une nation toute entière à exprimer sa défense, qui nie avec constance les accusations portées contre elle, que les droits fondamentaux de n’importe quel prévenu, soupçonné d’un délit de droit commun.
La première conclusion qui s’impose, c’est que le régime français procède envers les juifs - Israël c’est symboliquement l’Etat juif ! - selon des normes différentes, dans ses comportements diplomatiques, de celles qu’il applique à n’importe quel autre pays. Et que dans le cas d’Israël, peu importe au gouvernement français, qu’il s’agisse d’un système démocratique et pas d’une tyrannie. Peu lui importe non plus, si au regard de l’expérience, tout indique que les déclarations du porte-parole de Tsahal sont généralement crédibles et qu’à l’inverse, ceux qui accusent l’Etat hébreu de crimes de guerre, n’ont à leur actif, que des accusations fantaisistes et propagandistes, qui se sont toutes révélées infondées, les unes après les autres !
C’est sur la base de ces éléments d’analyse, que nous devons conclure que le pouvoir français s’octroie, par rapport à Israël, une licence hors normes et hors de ses valeurs autoproclamées et c’est sur la même base, qu’il faut chercher à définir les fondements de ce comportement atypique, étant posé qu’ils ne peuvent être que d’origine émotionnelle au contraire du rationnel.
Et lorsque c’est un Etat qui donne l’exemple d’un comportement émotionnel et inique, injuste dans le sens de "hors des normes de sa propre justice," à l’égard des juifs d’Israël, comment s’attendre à ce que la société française ne prenne pas les mêmes "libertés" à l’égard des juifs français ?
Ma deuxième conclusion, c’est que le respect des normes, des valeurs et des lois a ceci de particulier, qu’il n’admet pas l’exception. Que l’exception est à ce point antithétique des normes, des valeurs et des lois, qu’au plan indispensable de leur validité substantielle, lorsque l’exception survient, elles ont déjà perdu leur pouvoir de modératrices suprêmes ! Privée de ses modératrices, la société va s’auto-arroger, lorsqu’elle en aura besoin, les mêmes indulgences à l’encontre d’autres groupes de justiciables, que celles qu’on a utilisées pour s’octroyer le privilège de fustiger les juifs !
Pour comprendre ce qui se passe, il est bien nécessaire, d’observer que nous parlions ici d’exception et non pas d’erreur. L’erreur, en effet, est permise et parfois, sa reconnaissance immédiate renforce encore les normes et les valeurs d’une communauté ! Mais comment entrevoir ici l’erreur, alors que la France n’a pas fait d’excuses à Israël pour son vote inconcevable et qu’elle n’a pas non plus jugé utile de le dénoncer à posteriori ? Une erreur, pour le surplus, c’est une action atypique dans la séquence des actions régulières ; comment dès lors considérer comme une erreur, le vote de l’ambassadeur Kessedjan, après avoir pris connaissance de l’article de la Ména, "La Geneva connexion (info # 011201/2)" qui laisse au contraire présager de ce vote, comme on peut présager de la succession logique et prévisible des actes des diplomates français ?
Comment aussi considérer ce vote comme une erreur, alors que la France a voté à l’ONU toutes les résolutions qui condamnent Israël, sans qu’elle ne soit en mesure de revendiquer la justesse de leurs contenus ? Comment accréditer la thèse de l’erreur, enfin, lorsque les comptes-rendus quotidiens du Ministère des affaires étrangères sont trempés dans la même encre et qu’ils lui empruntent régulièrement l’essence de l’incitation à la haine ethnique, par l’ignorance volontaire et arrogante des faits connus et vérifiables !
Avec le gouvernement français et les médias, ce sont les sportifs qui se mettent à boycotter les équipes israéliennes, arguant de dangers sécuritaires et les scientifiques français, qui veulent exclure leurs collègues israéliens de certaines organisations et de certains colloques. Quoi de plus normal, de plus légitime et de plus honorable que de rejeter les ressortissants d’une nation qui se livre à des tueries massives de ressortissants d’une autre nation ?
Ce que ces gens ignorent encore, c’est qu’en empruntant ces raccourcis de la pensée et du comportement, relativement au cas particulier des juifs, ils ont déjà dénaturé la valeur générale des normes qui imposent à l’être éduqué l’exercice de la curiosité, du doute, de la critique, de l’apprentissage, de la culture de la connaissance et de la recherche de la vérité. Dans ces conditions et puisque les gardiens du feu ont perdu la sagesse, les êtres dé-éduqués vont devoir apprendre à leurs dépens à vivre dans la révolte émotionnelle contre les valeurs républicaines. Aucune raison n’est pourtant à la base de cette révolte et la haine des juifs, n’aura finalement servi qu’à établir un pont, entre la rive de la société malade et celle de la société chaotique !
On se rappellera de l’opération Rempart.
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