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DISCUSSION
Attention : Votre entree ne sera postee
qu'a la prochaine mise a jour.
01/04/02
URGENT
A l'appel du :
CRIF,
Consistoire Central et de Paris,
Fédération des Organisations Sionistes de France,
l'ABSI
Keren Or
Fils
et Fille des Déportés Juifs de France
SUITE AUX RECENTS ATTENTATS
Manifestation de soutien à l'ETAT ISRAËL
dimanche 7 avril à 17h30
place de la République
(puis vers la Bastille)
peut-être
que nos amis d'autres coins du monde pourront prendre la même
initiative...
01/04/02
bonjour,
Pensez vous faire une banque de données avec les noms des familles
d'alger ???
Merci
Marie Laure KADOUCH née le 2 décembre 1957 à alger
Manouw@aol.com <Manouw@aol.com>
01/04/02
je
suis Guedj Jocelyne nee a Hammam-Lif Tunisie, de Marcel Guedj et
Julie Cohen nes a Constantine Algerie. Mon pere est ne de David Guedj
ne a Constantine le 30 juillet 1834 mes arrieres grands-peres du
cote de mon pere sont arrives de France et ma mere qui etait une
Cohen etait fille de Cohen Angelo et ma grand-mere etait d'origine
espagnole ayant le net depuis peu j'ai decidee, si D. veut, d'essayer
d'etablir ma genealogie voila le peu que je peux vous transmettre pour
l'instant
Jocelyne Guedj <joce@netvision.net.il>
01/04/02
Celebres
a ajouter
Richard
ANCONINA comédien
Gisèle
HALIMI avocate
Agence EFIMO <agence@efimo.com>
01/04/02
CHERS
AMIS
VOILA
CA FAIT PLUS DE 5JRS QUE JE ME SUIS INSCRIT PAS DE REPONSE
J AIMERAIS BIEN CONNAITRE LE MOTIF DE SE SILENCE POUR MOI
JE REPRESENTE UNE ASSOCIATION DE LA SAUVEGARDES DES CIMETIERES
EN ALGERIE
POUR RENSEIGNIEMENT CONTACTER MR latapie roger 226
AVE de la LANTERNER .NICE 06200C FRANCE.TELEPHONE..4.93.18.85.58.
ASCA.POUR RENSEIGNIEMENT .JE SUIS A VOTRE ENTIERE DISPOSITION .MERCIE
VEUILLIEZ ACCEPTER MES SALUTATIONS LES PLUS DISTINGUES
Tiaibia Adel <a_tiaibia@hotmail.com>
01/04/02
J'écris de Neaples (Italie), pour commencer une recherche qui m'interesse
beaucoup.
Je m'appelle Guido Da Todi, e je suis un retraité, qui reçoit à peu prés
1500 euro ? par mois ; en outre, j'aurais bientot (deux ans) la
disponibilité d'une forte liquidité financière, ayant gagné une cause
juridique avec l'Etat italien.
Mon intention est, alors, de me transférer en Algerie dés maintenant- si
possible, en me faisant atteindre, aprés un an, par ma famille (3 fils de 5,
9, 11 ans et ma femme) - e creér quelque activité productive, chez vous.
Je serais, pour le moment, facilité par l'échange de l'euro ? en votre
monnaye, ce qui me permettra de me bien financer pendant le premiers mois
et, si est le cas, de bien rémunérer ceux-ci qui pourraient m'aider, dans
mes premières difficultés locales.
Il va de soi che la personne qui me soutiendra, soit dans la préparation de
mon projet - dans l'Italie, avant que je me transfère en Algerie - que
lorsque je me trouverais en Algerie, sera mon collaborateur définitif pour
les années à venir, dans l'activitè que je commencerai, le plus tôt
possible.
Il n'est pas nécessaire que le collaborateur que je cherche, à travers ce
message, s'éloigne de l'Algerie, pendant nos premiers contacts épistolaires.
Notre rencontre, ensemble à toute autre garantie et documentation de mon
sérieux personnel, il arrivera sûrement au moment opportun.
Dans l'attente de votre réponse, que je souhaite intéressée, je présente mes
sincères salutations
(Guido Da Todi - Giugliano [NA] - Italie)
datodi@agarde.it
01/04/02
Sujet: La paix Inchallah
Noël à Jérusalem
Près d'un mur que l'on croyait perdu
Un homme à genoux est là, il pleure à côté de moi
Et lève les yeux en remerciant le ciel
Noël à Jérusalem
Les pieds nus aux portes des mosquées
Ils sont des milliers qui viennent pour y déposer leurs
peines
Le visage à terre jusqu'à la nuit tombée
Ces mains qui prient au même instant ici
N'ont-elles pas la même ferveur
Les hommes auraient-ils oubliés aussi
Que c'est Dieu qui fait battre leur cœur
Noël à Jérusalem
C'est aussi l'enfant de Bethléem
Et le pèlerin guidé par l'étoile du berger
Cherche la maison de sa nativité
Noël à Jérusalem
C'est le monde au pied de l'éternel
Qui vient implorer son nom et lui demander pardon
De s'être égaré loin des chemins du ciel
Pourtant il suffirait de voir un jour
S'élever dans une prière
Le cœur de trois hommes éperdus d'amour
Pour changer la face de la terre
Noël à Jérusalem
Près d'un mur que l'on a retrouvé
Un homme à genoux m'a dit : Tout est changé dans ma vie
Car Jérusalem est de nouveau sur terre
La première ville bénie
À qui le Seigneur a dit
Je ferai ici mon plus merveilleux Noël
À Jérusalem
Parfois j'ai envie que Jerusalem disparraisse comme ca plus personne ne se battra pour elle ,et le sang cessera de segnier.
Mais en veritee il ya une solution plus simple et plus facile,et c de la partager,psc c un monument mondial,une terre sacrer qui appartien a tlm qu'on soit juif,musulman,ou chretiens.
Moi je pense qu'elle devrait devenir la capital du monde entier.
ET ce jour la,les guerriers laisserons tomber leur fusils pour aller serrer leurs ennemis,et la colombe pourra se reposer,et s'envoler pour se poser au paradi,comme l'a tant dit Enrico Macias,que j'aime trop!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
y.mimine@caramail.com
01/04/02
Sujet: renseignements sur tunis
je souhaiterai des renseignements sur les familles Bouhnick et Benillouche de Tunis
Merci
Sahbou@aol.com
01/04/02
moi je suis un journaliste algerien qui voudrait faire des connaissance avec des
juifs qui vivent en algerie ecrivez moi a
mahamedmourad@yahoo.com
01/04/02
Sujet: La France,colonie arabe
Des professeurs qui terminent les cours plus tôt pour coincider avec la rupture du ramadan, des cantines qui servent un copieux petit déjeuner avant le lever du jour et qui annoncent, en arabe, les plats hallal, etc, nous sommes en Algérie ?
Perdu, nous sommes en France ! La colonisation est en marche ! Le Conseil d'état vient de reconnaitre (le 3 décembre, cité dans Libé du 4/12) qu'une répudiation prononcée en Algérie est "conforme à la conception française de l'ordre public international" et qu'il est donc valide sur le territoire national, alors que le droit musulman reconnaît la répudiation, par le mari uniquement, bien sûr ; signalons d'ailleurs que la nouvelle législation française sur le divorce, en abolissant la notion de faute, permet sans problème la répudiation...
Loin de se limiter à la délinquance et à la création de zones de non droit, l'islam commence à investir très concrètement l'édifice institutionnel français, c'est à dire l'armature légale qui garanti nos libertés, de façon subreptice (les "arrangements" dans l'Education nationale), détournée (la nouvelle loi sur le divorce) ou incidente (la mairie qui donne un terrain pour la construction de la mosquée).
Ce n'est qu'un début, en attendant de plus explicites conquêtes juridiques (droit de vote des étrangers aux municipales, fin de la préférence nationale à l'embauche dans le secteur public, quotas ethniques, etc). Et vu l'empressement de nos chefs politiques à séduire cette nouvelle communauté, cela peut arriver très vite.
JIKA
01/04/02
Sujet: je suis un fan d'enrico macias
bonjour
je suis une trés grande fan d'enrico macias je l'aime beaucoup je suis déja allée le voir en concert à Paris à l'oympia j'attend qu'il refasse l'olympia et qu'il resorte un nouveau cd
nathaliebenschalom@yahoo.fr
01/04/02
Fallait
pas aller dormir ! (info # 033103/2)
Par
Ilan Tsadik © Metula News Agency
A
Métula, on apprécie la bonne télévision. On vous l’a déjà dit,
on rejette les attitudes systématiques et simplificatrices. Tout
n’est pas médiocre dans le PAF français.
Ainsi,
on se retrouve souvent à minuit, le samedi soir, entre copains de
l’Agence afin de regarder le Tout le monde en parle, de Thierry
Ardisson. Il mérite le détour, avec son émission authentiquement
atypique de FR2. Et ça n’est pas qu’une histoire d’accessibilité
au niveau du ton et du langage, commun et direct, qui nous a scotché.
Derrière cet environnement cool, s’abrite la seule fenêtre
vraiment ouverte, dans la façade des télévisions publiques de
l’Hexagone. On peut y respirer !
Je
n’ai jamais vu Ardisson, par exemple, empêcher aucun de ses invités
de dire exactement ce qu’il était venu dire. D’autre part, l’éclectisme
du panel de chacune de ses émissions est non seulement
pluridisciplinaire, mélangeant, comme dans la rue, les politiciens,
les chanteurs et les cinéastes, il est aussi bigarré et représentatif
de tous les courants présents dans la société.
Chez
Ardisson, on voit et on entend aussi les "privés de modalités
d’interventions publiques", les bannis et les marginaux, dont
les pieds sont trop tordus pour entrer dans les chaussures du médiatiquement
correct. Mieux encore, il n’est pas rare que cette télé du samedi
soir, mélange ces interdits d’antenne avec les barons de l’ordre
établi et les discussions qui s’en suivent montrent parfois de ces
rendez-vous rares, dont les barreaux – je déteste les grilles - des
programmes sont habituellement exempts.
La
touche personnelle d’Ardisson fait aussi que ces mélanges explosifs
de genres et de personnes se passent le plus souvent de façon cohérente.
D’une telle façon, que l’animateur draine l’énergie et les
tensions en direction de la compréhension du téléspectateur, tout
en lui épargnant les engueulades d’initiés.
Je
veux une autre remarque encore, qui aurait semblé extra-terrestre il
n’y a pas si longtemps, Ardisson est absolument dénué de toute
trace d’anti-juivisme ou d’anti-arabisme. Au contraire, il met les
diversités en valeur, sans que ses interventions ne laissent jamais
s’échapper le moindre signe de suffisance ou d’ascendance
patricienne envers aucun de ses hôtes.
"Il
me rappelle Michel Polack, le premier brise-glaces télévisuel des
rigueurs gaulliennes" a commenté une fois mon père et je considère
qu’il a fait à Ardisson un très beau compliment, encore plus bel,
parce qu’il est largement à sa place.
Hier
soir on a cependant eu envie de bouger pendant le gingle !
Ardisson avait à faire à un plateau complexe. Il y a d’abord reçu
Juliette Binoche, une immense actrice, en plus d’une femme de grande
intensité. Gare aux déductions trop rapides et aux trous de mémoire
subits, Binoche, c’est l’épouse naïve et phénoménale de
L’insoutenable légèreté de l’être de Kundera. C’est l’éblouissante
infirmière du Patient anglais et l’héroïne prisée de Chocolat.
Juliette Binoche est une actrice d’exception, un relais irremplaçable
et sensible des plus grandes émotions humaines.
C’est
avec Jean-Louis Murat, un auteur compositeur interprète au talent indéniable,
que les choses sont devenues pénibles pour Ardisson. Murat, prostré
dans une attitude de composition, teigneuse et taciturne, qui n’était
pas sans rappeler Baffi à ses débuts, a poussé le présentateur
dans ses derniers retranchements.
Suivit
Sonia Rolland, une ex-Miss France, toute étonnée d’avoir eu son
poster à poil, affiché sur tous les murs de France. Elle fait désormais
du cinéma, Sonia mais, avoue-t-elle, elle n’a jamais appris à en
faire. Lorsqu’elle a raconté une scène où on lui demandait de
pleurer et qu’elle avouait "ne pas savoir comment faire,"
son aveu anecdotique a provoqué un sourire de vraie actrice sur les lèvres
de Juliette Binoche. Ca l’avait interpellé quelque part.
Arriva
Alain Finkielkraut. Intello des intellos, aussi peu à sa place dans
une émission de divertissement qu’un poisson dans un bac à sable.
Mais intello intense aussi, imperturbable et incorruptible, sûr dans
son langage et fort de ses connaissances. On sentit sur le plateau une
gêne électrique, dès que le philosophe vint y prendre place. Pour
la plupart des téléspectateurs, la cause de la tension était
incompréhensible, dans les bureaux démobilisés d’une petite
agence de presse de Galilée, cependant, au milieu des fumées
rassurantes du cigare de Juffa et des verres d’Armagnac à moitié
vides, nous nous attendions à ce qui allait arriver.
C’est
que, en plus d’être une grande actrice, en plus de consacrer, sans
lézards, une partie consistante de ses revenus à de vraies actions
de bienfaisance, Juliette Binoche s’est "engagée en
politique." Mais cet engagement, elle y a souscrit par le côté
du cœur, après qu’il l’insupportait d’être nantie d’une
trop grande richesse matérielle et d’être amenée à observer,
autour d’elle, de nombreux peuples qui crèvent la dalle. Faisant
l’impasse sur une période d’apprentissage attentiste des réalités
politiques, Binoche s’est lancée corps et biens dans l’aventure
tiers-mondiste. Ainsi n’a-t-elle pas hésité à prêter son
concours, son nom et sa notoriété (comme Thierry Ardisson
d’ailleurs Ndrl.) à l’association Reporters sans frontières.
Cette organisation, trop contente de l’aubaine, allait utiliser
Binoche au profit de ses opérations médiatiques.
Les
lecteurs de la Ména savent que Reporters sans frontières est le repère
de personnes malhonnêtes et ils savent aussi pourquoi mais ça n’était
pas le cas de Juliette Binoche. Aussi, lorsque l’actrice est
sollicitée pour participer à la manifestation du 23 mars, par
"Les amis des peuples palestinien et israélien" et que
certains des solliciteurs sont juifs, elle ne prend pas la peine de
lire en détail le manifeste de cette initiative. Elle défilera bien
sous une bannière prônant "Les Arabes et les Juifs pour
la paix" mais il ne se peut pas, qu’elle n’ait pas entendu,
autour d’elle, les slogans qui criaient "A mort
Sharon" et "Mort à Israël !"
Et
c’est cela, qu’Alain Finkielkraut ne peut pas et ne va pas éluder !
Reprenant la pétition des organisateurs, il se tourne vers Binoche et
lui lit le passage qui impute à Ariel Sharon la responsabilité des
assassinats collectifs de civils commis par les Palestiniens. Cette
injonction est "impardonnable," conclut-il, au terme d’un
cheminement logique irréprochable. Sur un ton égal, Finkielkraut dénonce
le danger du "cœur aveugle", tout comme il démonte le
principe "du plus faible qui a forcément raison et du plus fort,
qui a forcément tort ! On peut mener une politique du cœur tout
en étant intelligent," ajoute-t-il.
Lorsque
Ardisson parle des "colons", Finkielkraut le corrige, citant
mot pour mot la définition de la Ména, "enfin, les habitants
des implantations, vous voulez dire", précisant d’une remarque
de son cru "ils ne sont pas là-bas pour faire suer le Burnous !"
Sur
le plateau, les forces sont inégales, Juliette se rend compte
qu’elle n’a que des slogans de première nécessité à opposer
aux raisonnements fondés du philosophe. La discussion porte un temps
sur d’autres sujets mais le fond de l’air est lourd. La discussion
revient sur le conflit israélo-palestinien, Juliette Binoche dit
"Il y a 60 ans les juifs ont quand même vécu l’horreur, il
est incompréhensible que…" et elle fond en larmes.
Selon
nous, à Métula, Juliette Binoche est avant tout une victime de la désinformation,
pour qui "il suffit d’ouvrir la télévision …ben uuh…pour
se rendre compte qu’il y a quelque chose qui va pas dans la
politique de Sharon !" Lorsqu’on lui rétorque
"qu’il suffit d’ouvrir la télévision, pour voir
l’attentat de Netanya," elle n’a rien vu, elle était
absente, elle n’a rien entendu.
L’importance
de l’exemple Binoche réside dans le fait que sa bonne foi et sa
bonne volonté ne peuvent être globalement mis en doute. Comme des
millions d’autres consommateurs de nouvelles, elle a été habituée
à haïr des Israéliens, qu’elle ne connaît manifestement pas, par
le biais d’informations occultées, tronquées et dirigées. A
l’heure où les premières synagogues brûlent, il est déjà trop
tard pour endiguer la vague d’antijuivisme qui se forme et qui va être
portée, à bout de bras, par des racistes honnêtes et de bonne foi.
La constatation de l’émergence de ces racistes-victimes est bien
celle du pire des crimes de nos collègues désinformateurs et de la
politique démente du président français et de son ministre aux
affaires étrangères.
Entre
deux sanglots, Juliette Binoche trouva encore l’à propos
extraordinaire de se tourner vers Sonia Rolland et de placer :
"mais voilà comment on apprend à pleurer ! "
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