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18/03/02
je
represente ma mere elle recherche des personnes ayant vecu rue marengo
ou ayant ete à l'école des filles rue du divan à alger elle
s'appelle molina christiane
gonet
sylvie
saint denis, REUNION 97400
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a cette Annonce
18/03/02
Bonjour,
Je
voulais vous dire que votre site est trés bien. En
effet je l'ai visité plusieurs fois et je trouve les
photos magnifiques.
Etant
d'origine constantinoise j'aimerai savoir si il était
possible de se procurer des vidéos de m'epoque ou
des fotos des quartiers "juif" comme la rue thiers
la rue Grand etc...
De
plus j'aurais souhaité savoir si il était possible que
je participe a votre site de quelques manière que ce
soit.
La
recherche sur consantine est l'une de mes activités les
plus ardues, ainsi si il était possible d'avoir une
aide de professionels cela m'aiderait considerablement.
j'attends
votre reponse.
Rudy
Nabet
rudy rudy
[rudy_nabet@yahoo.fr]
18/03/02
Je
recherche la famille DAHAN qui a habite la ville de Beni-saf à la rue
Jean jaurés.
merci
de bien vouloir répondre.
rachid
kacem
Pharmacien.
kacem
[rkacem@wanadoo.dz]
18/03/02
voici
les noms de familles d'algerie qui me sont liés
ilan benaym
[ilan@benaym.com]
18/03/02
ma
famille est d'alger molina kasby hanin
18/03/02
je
suis en train d'éditer
une plaquette de 100 pages sur l'histoire d'Oran.
Je
suis à la recherche de la liste des maires d'Oran. pouvez vous
m'aider ?
mireille.attias
[mireille.attias@laposte.net]
18/03/02
Connaitriez
vous la signification du nom juif
bensadoun
judovic83
[judovic83@wanadoo.fr]
18/03/02
Je
viens de découvrir l'identité de mon grand père, il s'appelle Smail
Larhem et est né et a vécu à Sétif. Il y a eu une fille : Dalhia
et est parti en France, à lyon, il était menuisier. C'est très
important pour moi, alors si ce nom vous dit quelquechose, si vous
avez la moindre info sur lui ou sa famille contactez moi. Merci
d'avance
Rissoan
St Quentin Fallavier, France
Repondre
a cette Annonce
18/03/02
Madame,
Monsieur,
Ma mère s’étant brouillée avec sa famille, je suis à la
recherche d’une part de mes origines. Peut-être pouvez –vous m’aider ?
Mes grands parents étaient d’Oran et leur nom de famille étaient
Calvo. D’après le peu que j’en sache ils étaient d’origine
juive espagnole.
Merci
par avance.
Stéphane Bernard
[s.blueberny@libertysurf.fr]
18/03/02
Sujet: recette de zlabia et makhrek
je cherche la recette des zlabia et le makhrek , si vous plait ,
parce que lorsque j`etais petit, ma mere me fait beaucoup, alors j`ai oublie la recette ,si vous
l'avez vous pouvez m`envoyer sur mon e-mail bon courage et merci
rakroukiadel@voila.fr
18/03/02
Sujet: Cite Duieb(Bobillot)
Je suis resident a San Francisco.Je suis a la recherche
d'anciennes photos de mon quartier natal a Alger.C'est la cite Duieb,peut etre connue pour certains sous le nom de Bobillot.
Merci d'avance
Omar sail
andaloucio@aol.com
18/03/02
Sujet: les juifs de mostaganem
je suis originaire de mostaganem
et dans votre site vous ne faite aucun allusion au juifs de Mostaganem ni ceux d'hière ni ceux d'aujourdui.
je trouve ça dommage
vous pouvez m'envoyer sur mon E-mail
l'histoir des juifs de Mostaganem
merci
card.card@caramail.com
18/03/02
Valeurs
Actuelles n° 3407 paru le 15 Mars 2002
France
Guerre d¹Algérie : Les mensonges du 19 mars
1962-2002 Les plus récentes études historiques le prouvent : le FLN
n¹eut jamais l¹intention de respecter les accords d¹Évian. Le
gouvernement français lui donna même une sorte de ³feu vert² pour
tout ce qui allait suivre.
On ne peut pas affirmer que la guerre d¹Algérie s¹est bien
terminée, ni même qu¹elle s¹est terminéeŠ constate Guy Pervillé,
professeur à l¹université de Toulouse-le Mirail. Dans sa toute
récente synthèse, Pour une histoire de la guerre d¹Algérie, il
aborde le sujet de la paix manquée. Impossible de considérer la date
officielle du cessez-le-feu, le 19 mars à midi, comme la fin de la
guerre. Il s¹agissait pourtant de l¹un des objectifs des accords
signés la veille à Evian.
Ce cessez-le feu devait mettre fin « aux opérations militaires et à
toute action armée », interdisait « tout recours aux actes de
violence individuelle et collective », « toute action clandestine et
contraire à l¹ordre public ». Etait précisé que seules les forces
françaises pourraient circuler librement jusqu¹au résultat de
l¹autodétermination, en évitant tout contact avec les forces du
FLN. S¹il y avait des incidents, des commissions mixtes les
régleraient.
Quant aux déclarations générales de ces accords, elles fixaient le
partage des compétences pendant la période transitoire, promettaient
un référendum d¹autodétermination et une amnistie, proclamaient la
souveraineté du futur Etat algérien, garantissaient les libertés et
la sécurité de tous ses habitants et envisageaient la coopération
future entre les deux pays.
En réalité, ce « bien étrange document » (selon Robert Buron)
sanctionnait une situation paradoxale et des objectifs divergents. Sur
le terrain militaire, à la suite du plan Challe, une quasi-victoire
est incontestable. Mais le gouvernement français ne tient pas à
l¹exploiter afin de ne pas froisser les représentants du FLN.
Très différents sont les buts algériens : arracher un traité entre
deux gouvernements afin de garantir l¹intégrité du territoire et
obtenir « la reconnaissance du GPRA comme interlocuteur exclusif et
représentant authentique du peuple algérien » (El Moudjahid du 19
mars). Et Maurice Duverger affirme dans le Monde du 27 mars : « On ne
peut nier l¹importance des garanties que les accords d¹Evian
établissent pour les Français d¹Algérie. »
Dès le 27 février, l¹état-major général de l¹Armée de
libération nationale (ALN) vote contre leur ratification. Trois mois
plus tard, le Conseil national de la révolution algérienne (CNRA)
les définit comme « une plate-forme néocolonialiste », « un frein
à la révolution » et préconise leur révision. Un mois avant
d¹être officiellement ratifiés par le référendum du 1er juillet
1962, les accords avaient été désavoués unilatéralement par ceux
qui les avaient négociés !
Comment, dans ces conditions, imaginer que la naissance de ce nouvel
Etat, l¹Etat-FLN, puisse se faire autrement que dans le drame et le
chaos ? Du 19 mars au 31 décembre 1962, 3 018 civils européens
furent signalés disparus. Seuls 1 245 furent retrouvés vivants. Un
bilan officiel sous-estimé : en 1986, il y avait encore 3 000
Français disparus en possibilité de survie. Parmi les rapatriés, on
parle de 9 000 enlèvements, voire 25 000. S¹ajoutent 297 civils
victimes d¹attentats de l¹ALN.
Devant cette insécurité, ce manque de confiance dans les garanties
d¹Evian, les Français d¹Algérie choisirent la valise plutôt que
le cercueil. Au début de 1962, 85 % d¹entre eux n¹avaient pas
encore quitté le pays. A la fin de l¹année, il en restait moins de
20 %. Les plasticages de l¹Organisation armée secrète (OAS) et sa
politique de la terre brûlée ne furent pas les causes essentielles
de cet exode, mais plutôt la conséquence, observe Pervillé. Ce que
confirment les témoignages recueillis par l¹historienne Jeannine
Verdès-Leroux : « On se demande si la question de leur sort réel a
préoccupé les négociateurs et le gouvernement. Qui les avait jamais
écoutés ? » Autres victimes, les harkis. Combien furent assassinés
? Les chiffres officiels avancent dix mille harkis exécutés entre le
19 mars et le 1er novembre 1962. Plus vraisemblable est la tragique
estimation de Mohand Hamoumou : entre 72 000 et 108 000 morts (Et ils
sont devenus harkis, Fayard, 1993). Tous ces chiffres sont des
extrapolations à partir d¹estimations fondées sur un ou plusieurs
témoignages localisés.
³La seule victoire, c¹est de s¹en aller².
Contrairement aux accords signés et aux engagements pris le 9
novembre 1961, la chasse aux harkis s¹institutionnalisa : chaque
willaya voulut se donner une image ultra-nationaliste en organisant
des procès de ³collaborateurs². En juillet 1962, le 2e Bureau
français estime que « les ordres ont été donnés par des échelons
élevés du FLN, ou au minimum avec leur grande complaisance ».
Sont exécutés opposants et messalistes, rappelle Jacques Valette (la
Guerre d¹Algérie des Messalistes 1954-1962, L¹Harmattan). Ce qui
fit écrire à Jean Daniel, le 1er novembre 1962, dans l¹Express : «
Presque tous les chefs (du FLN) avaient été au-dessous de la mission
que l¹histoire leur avait assignée. »
A qui les responsabilités ? L¹OAS ? Selon le général de Gaulle,
elle porte la responsabilité principale du désastre. Explication
insuffisante, note Pervillé. Certes, il y eut des meurtres (1 658 lui
sont imputés) et une volonté de provocation pour obliger l¹armée
française à choisir son camp. Mais Salan désapprouva toujours le
terrorisme aveugle qui dressait une communauté contre une autre et
l¹historien « ne peut expliquer ni juger l¹action de l¹OAS
isolément de celle du FLN ».
A partir d¹avril, le FLN multiplia les enlèvements, déclencha en
mai une vague d¹attentats publiquement revendiqués, entreprit un
grignotage systématique des quartiers européens, bafoua et vida de
leur contenu tous les accords du 18 mars. Un programme si méthodique
qu¹il semble voulu, suggère l¹historien.
Les autorités françaises ? Elles réagissent avec vigueur aux
violations du cessez-le-feu commises par l¹OAS, avec mollesse à
celles commises par le FLN-ANL. « Prévenir et réprimer les
entreprises de l¹OAS est une mesure qui prime tout par rapport au
reste », indique le général de Gaulle, ce qui entraîna une
collaboration entre responsables de la lutte anti-OAS et FLN. En
outre, le gouvernement mène de front deux politiques incompatibles,
la coopération (les accords d¹Evian) et l¹arrachement : « La seule
victoire, c¹est de s¹en aller », déclare de Gaulle lors du conseil
des ministres du 4 mai.
Ainsi, conclut Perdillé, « la guerre d¹Algérie ne s¹est pas
terminée par une victoire française, ni par une paix sans vainqueurs
ni vaincus, mais par une victoire politique du FLN, mal assumée par
celui-ci ».
Frédéric Valloire
Je vous rappelle la pétition ''Pour le 16 Octobre, contre le 19 Mars'' à envoyer à
petitionTORRES@meloo.com
Venez me voir sur www.orleansville.org
18/03/02
Subject: Beni Yala
Je veus savoir si jamais quelqu'un connait les origines du nom de famille "SAIL".Mes parents sont de beni yala.J'ai fait une petite recherche; j'ai trouve des SAIL a Sidi Aich ,Casablanca et ceux ici aux USA (la ou je suis) sont descendants d'immigres (de 18--/19--)originaires soit de
luxamboug,nice,paris ou du caire(egypte)
Merci
andaloucio@aol.com
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