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DISCUSSION

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25/02/02

Bonjour,

je suis à la recherche de mes origines par la reconstitution de mon arbre généalogique mais n'arrive pas à remonter plus haut que mes arrière grands parents paternels...

C'étaient deux familles juives d'Algérie : famille Nabet et famille Khalifa qui ont émigré en France, à Marseille, en 1947 (les grands-parents Nabet ont rejoint leurs enfants en 1966).

Pourriez-vous m'aiguiller vers une méthode de recherche ?

Merci beaucoup.

Amicalement.

LittleNeo [littleneo@wanadoo.fr


25/02/02

Bonjour et Shalom,

Les photos de Sétif la ville de mon enfance m'ont émues et en particulier la photo de la classe de cm2 de l'école laïque. Les photos sont de HD et je souhaiterais tellement le connaître car il s'agit peut-être d'un de mes copains des classes, peut-être Debat, Aloujes, perrinx, petijean, Ghali, Boufarsène, Rossi, Ghozlan, Zemmour etc..allant du CP au CEP de cette école, avec le généreux Doumeng comme directeur et surtout Monsieur Boulis que j'ai tant apprécié et estimé. Pouvez-vous s'il vous plaît faire suivre ma demande ? Par avance je vous en remercie.

Amitiés : Mus

Soukparc@aol.com 


25/02/02

Notre nom de famille est Barchiche et nous voudrions savoir si nous sommes d'origine juive. Nous n'avons aucun contacte avec notre famille. Nous savons qu'ils sont établis à Bougie. Voudriez vous nous éclaircir sur ce point.

Sonia Barchiche [b.sonia@noos.fr


25/02/02

Je pense avoir reconnu sur la photo de classe de CM2 une personne de ma famille.Serait il possible d'avoir plus de renseignements sur cette photo(année, école).Serait-il possible d'entrer en contact avec le détenteur de cette photo?

Merci d'avance.

Mon nom est Marie -claire ADJADJ

Mon adresse e-mail est: delphine.herencia@free.fr 


25/02/02

actuellement en formation à l'ISTR de Marseille, j'aimerais, dans le souci d'exactitude qui doit caractériser mon travail, obtenir tout lien ou tout renseignement utile que vous pourriez me communiquer sur la communauté juive de constantine depuis son implantation jusqu'à nos jours. Merci.

Gabydragacci@aol.com


25/02/02

Bonjour et Shalom,

Je suis de Sétif et j'ai été très très heureux de revoir toutes ces cartes postales, en particulier celle de l'école laïque ou j'y figure. Quant au petit sétifien, je me souviens très bien de M. Venys son imprimeur rédacteur qui était installé à proximité de l'église. Je souhaiterais que la personne qui à bien voulu vous envoyer ces cartes prenne contact avec moi. J'ai fait les classes primaires avec Mmes Jeanselme et Laurent, ainsi qu'avec Messieurs Ristérucci, Boulis, Hanouz, Vétillard et  Erlacher. Monsieur Doumeng était le directeur de notre école laïque. Je vous remercie par avance Mustapha.

Saliousais@aol.com 


25/02/02

Sujet: A propos de Salim Hilali

Je suis algerien de formation scientifique mais qui s'interesse a l'histoire de l'Algerie, ce pays aux multiples composantes culturelles, qui est avant tout mon pays. Votre Site est d'un apport certainement positif aussi bien a la communeaute Juive d'origine Algerienne qu'aux algeriens desireux de completer leurs connaissance en matiere d'histoire concernant leur pays.

Remarquant que votre site ne mentionne pas le celebre Salim Hilali, il m'est tres agreable de vous faire part ci dessous d'un recapitulatif de sa biographie.

Salim Hilali est né à Bône (Annaba) en Algérie le 30 juillet 1920, d'une modeste famille de boulangers Juifs, originaire de Souk Ahras. berceau d'une des plus grandes tribus Chaouia, les Hilali. Très jeune, il quitte ses parents et débarque à Marseille en mars 1934 d'un bateau "moutonnier". Il "monte" à Paris pour l'Exposition universelle de 1937. Il y commence une carrière de chanteur espagnol. C'est sa rencontre avec les chanteurs Bachtarzi Mahieddine et Mohamed Elkamal qui marquera le début d'une carrière fabuleuse de chanteur oriental. En 1938, il fait la tournée des capitales européennes avec la troupe de Mahieddine et, la même année, il se produit dans un spectacle grandiose dans le plus grand cinéma de Marseille, place du Théâtre. Il ne tarde pas à "monter en flèche". Malgré son amour pour le chant espagnol il est resté très attaché à la musique algérienne et il détiendra le record de la vente des disques en Afrique du Nord.

En 1940 il fut sauvé des camps de concentration grâce à l intervention de Si Kaddour Benghabrit, recteur de la Mosquée de Paris, qui lui délivre une attestation de conversion à l'islam au nom de son père et qui pour corroborer cela, fait graver le nom de son père sur une tombe abandonnée du cimetière musulman de Bobigny. De plus il le fait engager au café de la Mosquée de Paris où il s'est produit régulièrement avec des artistes aussi importants qu'Ali Sriti et Ibrahim Salah. En 1947, il crée un cabaret "Ismaïlia Folies" dans l'hôtel particulier de Ferdinand de Lesseps, avenue Montaigne à Paris. En 1948, il en crée un second, "Le Sérail", rue du Colisée.

En 1949, au sommet de sa carrière, il choisit de vivre au Maroc où il est, comme partout, reçu dans les grandes familles. Il installe à Casablanca un des plus somptueux cabarets du monde, "Le Coq d'Or" avec six salons décorés de draperies tissées d'or et de meubles Louis XV authentiques. A cette époque il est souvent allé à Tunis pour engager des artistes chanteurs et musiciens, entre autres "la grande dame" de la chanson tunisienne, Chafia Rochdi, à laquelle il vouait une admiration sans bornes.

En 1965, il se retire à Cannes dans une magnifique villa où il vit entouré d'oeuvres d'art et de bibelots rares. La passion de la chanson ne l'ayant jamais quitté, le voilà en 1970 qui entreprend une deuxième carrière, cette fois en français, avec une musique qui reste néanmoins très influencée par la musique arabe. C'est la première fois qu'un chanteur oriental tente de faire carrière en Europe en y apportant ce qu'il y a de mieux dans la musique arabe, le rythme et le raffinement de la mélodie. La parution d'un disque chez Polydor en 1970 fut suivie par un grand gala dans une salle inhabituelle pour la musique de variétés: "la salle Pleyel", réservée d'ordinaire aux divas et autres grands interprètes de musique classique. La salle était comble le soir de cette première internationale mais le public habituel de Salim, qui lui faisait fête, le tira insensiblement vers ses grands succès de la musique arabe.Le lendemain, la presse unanime ne tarissait pas d'éloges sur la nouvelle étoile que le monde occidental venait de découvrir. Les radios et la télévision firent le siège de l'artiste pour obtenir une interview ou pour l'intégrer dans leurs grandes émissions. Salim fut terrorisé par cet assaut médiatique qui dérangeait la retraite dorée qu'il s'était construite dans sa grande villa de Cannes.

Fuyant la vie trépidante qui risquait de devenir la sienne, il préféra retrouver sa vie paisible et tranquille, ne donnant accès à personne dans sa vie privée et ne prenant de "bain de foule" que de temps à autre, selon son bon plaisir et non par obligation professionnelle. Il indemnisa totalement la compagnie de disques pour les frais engagés et reprit sa liberté .

Il avait consacré près de quarante ans à la musique maghrébine qu'il avait servie avec tout son talent, suscitant des vocations et une multitude d'imitateurs qui ne se cachaient pas pour lui emprunter un style qui a marqué toute une génération ou puiser allègrement dans son répertoire. Bien des artistes, dont Enrico Macias, n'ont fait que suivre une voie toute tracée. Depuis les années 70, il n'a jamais cessé d'enregistrer des chansons, dépensant des sommes colossales pour monter d'abord un studio à Cannes et ensuite un autre à Paris, pour son plaisir personnel. Il y passait des nuits entières et y conviait les meilleurs musiciens arabes et espagnols. Mieux encore, le "métier" aidant, sa voix et son art se sont affirmés, apportant à son interprétation une souplesse et une sûreté infinies et faisant de lui un artiste inégalable.

En dehors de ses activités d'antiquaire, où il a montré un goût sûr et délicat, il n'a jamais refusé de faire des galas sur la Côte d'Azur, à Paris, au Maroc, à Montréal. Sa spécialité était l'animation des mariages des grandes familles du monde arabe: le roi du Maroc qui avait pour lui la plus grande admiration l'a convié au mariage de sa fille aînée, lui faisant un pont d'or. Pour cerner ce personnage hors du commun, je vous invite à vous reporter à ce que dit de lui un journaliste canadien, Nighthawk, de la Gazette de Montréal, qui a assisté au spectacle que Salim a donné en novembre 75 à Montréal, Place des Arts, devant mille huit cents personnes: "Ses chansons sont presque toutes arabes, avec une touche de modernisme, dans le style qui a donné naissance au flamenco. (...) Salim Hilali est énergique, dynamique, plein de charme et il établit une relation très intime avec son public, à la façon de Manitas de Plata. Il entre en discussion avec un spectateur, tourne un compliment à une dame au milieu d'une chanson. Il s'arrête pile dans une chanson triste et s'embarque sur un solo de darboukha qui fait naître des battements de mains dans le public, dans une frénétique accélération de rythme. Il s'investit totalement dans son chant, se donne dans la joie avec des caprices d'enfant gâté. (...) Il vocalise sur chaque syllabe et les variations se succèdent en une arabesque fleurie dans une orgie de couleurs.(...) D'une chanson française assez pauvre quant au texte, (...) il a su faire un kaléidoscope de sons d'une durée de quinze minutes. Il connaît à la perfection tous les secrets du chant oriental".

Voici donc, pour finir de retracer cette carrière éblouissante, un dernier album consacré à "Salim Hilali au Maroc". pays où il a résidé pendant plus de dix ans. Il y est présenté les oeuvres typiquement marocaines qu'il interprétait régulièrement au "Coq d'Or" et dans ses galas au Maroc et à l'étranger.

Lahbib Dridi dridi23@yahoo.fr 


25/02/02

Sujet: Enrico à Constantine

Encore une fois l'Algérie a râté un rendez-vous avec l'humanisme et la tolérance. Enrico Macias est une grande figure de l'universalité de l'amour et la paix. Nous avons espéré l'avoir parmi nous dans sa ville natale dont il n'a cessé d'être l'ambassadeur mais c'est compter sans le fanatisme obscurantiste et la compromission de certaines sphères de l'autorité publique. Ne désespère pas KHOUNA Enrico tu seras certainement parmi nous et nous chanterons avec toi Constantine. A bientôt.

B.M de Constantine


Subject: israel shamir
From: bar hokhma

Comments

il y a un site d'un fabriquant de zlabia en israel

www.israelshamir.net


25/02/02

recherche archives sur constantine

Mes parents sont nés à constantine, mon pere en 1934,Attali Armand et ma mere Guedj Reine en 1938. Je recherche des photos, des amis d'ecole et de quoi faire mon arbre genealogique. Je ne connais malheureusement pas Constantine ça doit etre merveilleux! Je suis allée seulement en Tunisie et au Maroc et dans ces pays je me sens bien on retouve toutes les traditions. Merci pour votre aide à bientôt.

v.attali2@libertysurf.fr 


25/02/02

Notre ami binya soumet son enigme de Pourim a votre sagacite. Faites un tour sur: http://www.jazo.org.il/cnef/judaisme_fichiers/enigme.htm

Si ca ne marche pas vous pouvez toujours essayer directement: www.cnef.org 

Reouven... Webmaster CNEF - Centre National des Etudiants Francophones


25/02/02

cher madame,monsieur

je suis un jeune algerienne(constantine), étudiant a l'univerciteé de constantine 2°anneé droit. est-ce que vous pouvez maider pour obtenir une attestation d'hebrgemant ,et pouvoir visite la france . en attandant veillez agreé madame ; monsieur, l'expression de ma haute consideration.

monsieur BENACHOUR BILLEL-Algerie

41,avenue aouati moustepha 25000 constantine algerie.

benachour billel [billel.benachour@caramail.com


25/02/02

Aprés la réussite des journées historiques des 13/14/15mars2001 l'association culturelle et scientifique de khenchela organise les 2eme journées historique sur la reine berbére la kahina les 7/8 mars2002 a l'universite de khenchela.le programme sera riche en conférences, débats, galas et sortie sur sa capitale baghai. enfin, remise des prix aux élèves de tamazight.

tayeb djellal [wazawi@caramail.com


25/02/02

j'aimerai bien contacter par email des juifs ou des juives qui vient actuellement en algerie (Alger et banlieu) afin d'evoquer le mode de vie et les problemmes qu'ils rencontrent quotidiennement. merci toutes mes amities aux lecteurs des cet interessabt site je compte sur vous cinoo_200@yahoo.fr 


25/02/02

Nager ou voler, telle est la question ! (info # 012202)

Par Stéphane Juffa ã Metula News Agency

A la mi-semaine, le Premier ministre Ariel Sharon a réitéré ses préoccupations face à "l'antisémitisme de la France", jugeant par ailleurs que les 700.000 juifs français faisaient désormais face à un réel danger existentiel. M. Sharon ponctuant son intervention en faisant état de préparatifs israéliens afin d'accueillir les juifs français.

Hubert Védrine a fait écho à cette déclaration du chef du Conseil, en jugeant "odieuse" l'éventualité de considérer la France comme un pays antisémite.

C'est la seconde fois que le Quai utilise l'adjectif odieux pour qualifier ce genre d'accusations, à croire qu'il manque de vocabulaire. L'occasion précédente, ce fut pour répondre aux reproches du rabbin Melchior, notre vice-ministre de l'assimilation des nouveaux émigrants. Les bureaux de M. Védrine avaient alors cru bon de préciser, que Melchior justifiait ainsi ses gages ou quelque chose de similairement intelligent.

A la Ména, on accueille avec circonspection les déclarations des uns et des autres, en déplorant peut-être, que des deux côtés de la Méditerranée on transforme un sujet aussi grave en prétexte de polémique populiste. Nous préférerions, quant à nous, que les protagonistes se choisissent des supports plus futiles afin de se dire dans les yeux combien ils ne s'aiment pas.

Au fond, nous sommes ici persuadés que Sharon et Védrine se trompent tous les deux. Ce n'est pas la France qui est antisémite, aussi notre Premier ministre fait-il fausse route lorsqu'il procède par de pareils amalgames. Même si la société française n'a pas fait le ménage de ses relents d'antijuivisme, on ne peut décemment conclure que la France entière est coupable d'un sentiment raciste monolithique et exacerbé. Deux oiseaux malades ne font pas une épisotie et nous voulons relever l'iniquité de condamner un pays tout entier pour la faute de quelques-uns uns (fussent-ils en nombre non négligeable). Laissez-moi dire à Monsieur Sharon, qu'il y a aussi des Français admirables de courage et de lucidité. Finkelkraut et Bernard Henri Lévy sont au nombre de ceux-ci mais j'en ai rencontré, au sein même du Ministère français des affaires étrangères, qui partagent les préoccupations fondamentales de la Ména et qui, dans l'antre même du dragon, trouvent les ressources d'exprimer leur point de vue à haute voix.

Sharon à tort, car la situation pourrait être plus périlleuse que ce qu'il ne se figure ! Dans un espace responsable, les errances racistes se font jour au sein de la société plurielle et l'autorité politique n'a de cesse que de les corriger, voire de les réprimander. A Paris, c'est tout le contraire ! La France n'est pas antijuive, Monsieur le Premier ministre mais Monsieur le ministre des affaires étrangères l'est assurément. Pas besoin d'être grand druide pour asseoir cette affirmation déroutante ; pas besoin non plus d'une enquête approfondie de la Ména, tant les évidences de la déviance coupable d'Hubert Védrine sont patentes.

Et l'antijuivisme du ministre français est révélé par la terminologie émanant des communiqués issus de ses bureaux. L'antijuivisme, c'est d'appeler l'élimination d'un assassin de juifs un "assassinat ciblé" et d'encourager ainsi, dans la presse de France que ses excès de langage déboussolent, les journalistes qui l'écoutent à reprendre ses erreurs. C'est de dire "colonie", lorsqu'il sait que ce sont des implantations. C'est de parler de "bombardements de camps de réfugiés", en réveillant la mémoire ensommeillée des dizaines de milliers de victimes de Coventry et de Dresde, alors que l'armé d'Israël ne détruit qu'une fabrique de bombes qui était située "à l'intérieur dudit camp de réfugiés" et que l'opération n'a pas fait de victimes.

L'antijuivisme de Védrine, c'est lorsqu'il annonce que Sharon va éliminer physiquement Yasser Arafat et qu'il transforme son intuition égarée en position d'Etat !

Pour diffuser tous les doutes, je veux dire, dans cet article, que je suis prêt à démontrer sur n'importe quelle chaîne française de télévision qu'Hubert Védrine est un antijuif caractérisé et qu'il s'agit malheureusement d'un exercice facile. Et je rejoins pourtant Sharon sur un point de son raisonnement au moins :

La profession de la haine raciste ou ethnique est d'autant plus dangereuse en France, qu'elle est l'instrument de l'option politique de son gouvernement. Cette haine est méthodique et elle se déverse du sommet du volcan en dévastant tout jusqu'au contreforts de la montagne. Depuis les époques terribles, c'est la première fois que l'on observe en Occident un gouvernement agir sans précautions, dans le sens de l'attisement du fléau antijuif, que ses prédécesseurs avaient eu tellement de mal à contenir.

Védrine présente jour après jour des Israéliens massacrant sans raison des Palestiniens sans défenses. Cette présentation n'est pas simplement fallacieuse au niveau de ces massacres, qui n'existent que dans la rhétorique du Quai d'Orsay, elle est surtout périlleuse, car les communiqués des AE omettent toute relation de causalité dans leur transcription des événements du Proche Orient. Lorsqu'ils parlent d'un assassinat ciblé, par exemple, ils se contentent de mentionner que les Israéliens ont "assassiné" un leader local palestinien. Ils omettent donc la relation causale, qui les obligerait à parler des états de service de la personne éliminée, ainsi que d'établir qu'icelle était à la tête d'un groupe armé, qui a revendiqué les assassinats collectifs de dizaines d'Israéliens innocents. Védrine omet de mentionner que les attentats commis par les personnes ainsi éliminées par les Israéliens, ont assassiné de simples passants dénués d'importance tactique, par seul motif de haine ethnique et religieuse et dans le but indubitable de faire en sorte que la violence ne s'arrête jamais.

En omettant systématiquement de mentionner les raisons des Israéliens, qui sont à la base de leurs opérations militaires, les services du Quai ne font pas que priver les citoyens français des moyens de juger par eux-mêmes de la justesse des décisions israéliennes. Ils font bien pire que cela ! Ils présentent les Israéliens comme des êtres vilains, qui tueraient par délectation et dans le dessein de supprimer les autres races. Ce faisant, la diplomatie française réinvente un caractère pernicieusement profond et atavique, par manque d'aucune autre option, qu'elle attribue aux juifs. Ce faisant, et avec les moyens de communication dont dispose un Etat moderne au XXIème siècle, Védrine réédite une version mise à jour du Protocole des Sages de Sion.

Si cela n'est pas du racisme et si cela n'est pas extraordinairement dangereux, je veux bien qu'on me prenne pour un poisson volant !


 

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